2030 : la fin des antibiotiques ?

Les rapports de l’OMS sont inquiétants : ils disent clairement que les infections résistantes aux bactéries sont la plus grosse menace des prochaines années pour la santé de l’humanité.

On s’affole notamment d’une nouvelle souche de tuberculose contre laquelle ces médicaments ne peuvent rien.

Certains proclament la fin programmée des antibiotiques pour 2030.

En effet, la recherche médicamenteuse n’est plus capable de produire une nouvelle molécule antibiotique depuis plusieurs décennies.

C’est un échec inéluctable de la chimie de synthèse en bactériologie.

Pourtant, il existe des molécules tout à fait comparables aux antibiotiques…. Dont personne ne parle, c’est triste !

Il s’agit des huiles essentielles.

Les antibiotiques de demain existent déjà (et ils sont naturels !)

Rien n’est plus dense et concentré que ces petites « bombes thérapeutiques ».

Je le clame haut et fort : les huiles essentielles sont les antibiotiques de demain.

Ces médicaments naturels agissent remarquablement dans à peu près tous les domaines de la santé et de la maladie, et peuvent remplacer la plupart des comprimés chimiques :

  • Les huiles essentielles de lavande, marjolaine, géranium, mandarine et cardamome sont plus efficaces que les somnifères chimiques ;

  • L’huile essentielle de cannelle de Chine (dont le composant principal est Cinnamomum cassie) fait chuter la grippe, qui fait des milliers de morts chaque année ;

  • L’huile essentielle de cannelle de Chine (dont le composant principal est Cinnamomum cassie) fait chuter la grippe, qui fait des milliers de morts chaque année ;

  • L’huile essentielle de Ravintsara est le plus puissant des antibactériens naturels pouvant exterminer des bactéries telles que Listeria, Salmonella, Staphylococcus aureus, Pseudomonas aeruginose, Clostridum difficile et Escherichia coli ;

  • L’huile essentielle de Tea Tree (Metaleuca alternifolia) a ouvert des perspectives prometteuses car elle permet de venir à bout du staphylocoque doré.

Depuis les années 1970, la recherche et les différentes études ne cesse de montrer leurs vertus thérapeutiques…

Mais ils ont été le pilier de la santé chez nos amis Orientaux depuis bien plus longtemps.

Ils se soignent déjà avec… depuis 5,500 ans !

La phyto-aromathérapie est la plus ancienne thérapie employée sur la planète.

Elle a existé depuis que les peuples ont recouru aux plantes médicinales pour se guérir, d’abord grâce au thym, puis l’estragon, le basilic, ou encore la menthe.

En Inde, pays caractérisé par une biodiversité végétale colossale, les plantes ont toujours été au centre de la médecine.

Des textes en sanskrit datant de plusieurs millénaires répertorient ces plantes aromatiques et leurs différentes propriétés médicinales. Chaque plante est capable d’agir sur un ou plusieurs chakra(s).

On observe la même admiration pour les plantes aromatiques en médecine traditionnelle chinoise. Il y a plus de 3 500 ans avant notre ère a eu lieu le plus ancien traité de phy­tothérapie : le même qui a défini nos pharmacopées actuelles.

Depuis cette époque, les huiles essentielles et le pouvoir des plantes n’ont jamais cessé de gagner les esprits de nombreuses civilisations dans le monde comme la Grèce, l’Egypte, le Moyen-Orient ou encore les aborigènes d’Australie.

Commencez à les remplacer dès aujourd’hui (5 applications directes)

La richesse des huiles essentielles permet à cette médecine naturelle de traiter et prévenir n’importe quel type de troubles.

Voici 5 façons d’en profiter dès aujourd’hui :

  • Trouble de la circulation → Les huiles essentielles peuvent agir sur la paroi des vaisseaux, donc sur la circulation du sang et, par là même, sur la régulation de la tension artérielle : armoise arborescente, cyprès, genévrier, hélichryse, patchouli, romarin, santal.

  • Troubles digestifs → Les huiles essentielles peuvent régulariser les sécrétions des glandes digestives et le bon fonctionnement du péristaltisme (motricité de l’intestin) et diminuent les fermentations et les ballonnements : basilic, coriandre, estragon, mélisse, menthe.

  • Troubles des glandes endocrines → Ces glandes sont très sensibles à l’action des huiles essentielles, sans doute par action sur les centres supérieurs du cerveau et de l’hypothalamus : carotte, eucalyptus citriodora, hélichryse, lentisque, menthe, pin, sarriette.

  • Troubles de la libido → L’huile essentielle de l’ylang-ylang réveille la libido. Les femmes des îles à parfum le savent et imprègnent aujourd’hui encore leur chevelure de la fleur d’ylang-ylang macérée dans l’huile de coco. En Indonésie, on la répand sur le lit des jeunes mariés. Mais là encore, l’aromathérapie marque un avantage : contrairement à un aphrodisiaque de synthèse bien connu, l’ylang-ylang apporte dans son sillage la sérénité et l’harmonie.

  • Troubles psychiques → En fonction du terrain, les huiles essentielles agissent pour réguler l’humeur suivant un processus complexe : amélioration de l’équilibre de la flore intestinale, de l’équilibre, nerveux et hormonal : citron, géranium, lavande, marjolaine, oranger, mandarine, verveine, ylang-ylang.

Pour remplacer vos différents analgésiques et antalgiques, vous pouvez utiliser les huiles essentielles suivantes :

  • Bouleau jaune,
  • Camomille,
  • Encens,
  • Gaulthérie couchée,
  • Girofle,
  • Lavande,
  • Lavandin,
  • Menthe (menthol).

Vous pouvez les appliquer en onctions locales sur les articulations, les dents, le front, les tempes ou encore la nuque.

De plus, saviez-vous que les huiles essentielles de gaulthérie et le bouleau jaune contiennent 95 % de salicylate de méthyle, soit le principal principe actif que l’on trouve dans l’aspirine ?

Mais ce n’est pas tout : les huiles essentielles redonnent espoir même en cas de maladies très graves.

Même dans les cas les plus désespérés (Alzheimer)

S’il y a bien UN symptôme que l’on retrouve chez la quasi-totalité des patients atteints de la maladie d’Alzheimer, c’est un odorat perturbé.

Justement, l’un des modes d’application les plus faciles et efficace des huiles essentielles consiste à les inhaler. Les voies respiratoires sont capables de distribuer les principes actifs des huiles essentielles directement dans le flux sanguin.

De cette manière, la lavande a montré qu’elle pouvait calmer l’agressivité et l’agitation chez les personnes atteintes d’Alzheimer. De même, la petite pervenche contient une molécule, la vinpocétine, réputée pour ses effets bénéfiques sur le cerveau.

Au contraire, la majorité des médicaments fabriqués dans le cadre de la maladie d’Alzheimer se sont avérées inefficaces. A tel point que les laboratoires de recherches ont arrêté les recherches dans le cadre de cette maladie.

Il est fondamental de comprendre qu’en premier lieu les produits chimiques sont des substances mortes, donc dangereuses, perturbatrices des systèmes métaboliques de l’organisme.

Après-tout, « antibiotique » ne veut-il pas dire anti-vie ? Par leur présence, le sol, les plantes, les animaux et l’homme se polluent et se dévitalisent.

A l’inverse, les huiles essentielles sont des produits naturels qui restaurent le terrain et favorisent une profonde revitalisation de l’organisme.

Elles sont dites « eu biotiques », c’est à dire qu’elles participent à la vie.

J’espère que cette lettre vous aura donné l’envie de vous intéresser aux possibilités exceptionnelles de cette santé naturelle.

Les perspectives sont très promettantes et ce n’est que le début !

Portez-vous bien !

Jean-Pierre Willem

PS : Mon livre Les huiles essentielles, médecine d’avenir (Editions du Dauphin), répondra à toutes vos questions sur cette médecine très efficace, rapide d’action et (presque) sans effets secondaires (à condition de les utiliser avec précaution)

40 commentaires pour “2030 : la fin des antibiotiques ?

  1. Bonjour
    J’ habite A Saint Romain au mont d’or à quelques kilomètres de LYON
    et je recherche un
    Bon aroma phytotherapeute
    car mon naturopathe est parti à la retraite.
    Pour commencer je vais acheter votre livre mais j’aime aussi être guidé et conseillé.
    Merci de votre réponse.
    Cordialement.

  2. Malgré tout l’intérêt de l’article, je pense qu’il y a suffisamment de battage autour des huiles essentielles. Mal utilisées, reprises dans l’agroalimentaire et dans des groupes de passionnés mais non médecins, elles risquent le même devenir que les antibiotiques.

  3. Je lis avec toujours autant d’intérêt vos articles
    Vous ne signalez jamais les pathologies concernant la dilatation des bronches et les moyens d’aborder les soins
    Cela m’intéresse beaucoup de savoir ce que vous en pensez
    Très cordialement

  4. Bonjour et merci pour vos courriers.
    Dans votre livre concernant les 48 huiles essentielles, vous ne parlez pas de le cannelle, de Chine ou de Ceylan…
    Quel oubli ! ! !

  5. Je me soigne personnellement avec des huiles essentielles depuis 20 ans. J’en garde toujours au moins trois lorsque je pars en voyage: l’eucalyptus radié pour prévenir les rhumes (en inhalation) le tea tree pour les maux de gorge (en gargarisme)et la gaulthérie couchée pour les douleurs articulaires ( en massage dilue dans de l’huile végétale)J’en utilise aussi pour les soins de la peau : hélychrise . rose de Damas, géranium Bourbon quelques gouttes dans une huile végétale.
    Il faut être prudent par voie orale car les huiles essentielles sont trés concentrées et peuvent être toxiques si on dépasse les doses.
    Je ne prend jamais de médicament et suis en pleine forme dans ma huitième décennie! Merci pour vos conseils auxquels j’adhère totalement.

  6. Cher Docteur Willem, je connais le principe des HE depuis longtemps. Mais dans le cas de ce que j’ai, malgré tout, je dois être prudente :
    . dissection aortique causée par erreur chirurgicale en 2005 : depuis, je suis sous anticoagulant (Préviscan), médic. pour le coeur, pour la tension.
    . j’ai eu (malheureusement) de nombreux scan et j’ai développé un défaut leucocytaire (LLC), j’imagine causé par les scan.
    . j’ai 76 ans, suis très active, créative, bio (je fais mon jardin) vénère quasiment la nature et mes pigeons sauvages que j’ai un peu apprivoisés.
    . mon époux est un cas très lourd à gérer, malgré l’aide (grand blessé de la guerre d’Algérie). L’ai pris en charge en l’an 2000, alors qu’il était très agressif (maintenant c’est le contraire, il n’en a que pour moi, ouff !).
    Je suis toujours très attentive à vos informations, avec lesquelles je suis toujours OK.
    Respectueusement vôtre
    Michèle

  7. bonjour
    bravo pour les conseils que vous donnez sur votre lettre, mais au sujet des huiles essentielles par exemple,vous ne precisez pas les contre indications.Par exemple, etant atteinte d’une maladie renale suite a une infection, le nephrologue m’a interdit tout anti inflammatoire, donc quelles huiles essentielles sont a eviter.merci.

  8. Bonjour
    Merci de cette lettre très instructive. Vous avez le mérite de donner les indications des huiles essentielles. Je suis depuis longtemps convaincue de ce que vous dites et surtout de la nocivité de tous ces produits de synthèse administrés à tout va pour le bonheur financier des laboratoires .
    La nature a toujours le dernier mot. Ça me fait penser aux herbicides qui appauvrissent la terre…..
    Bien à vous

  9. Bonjour Docteur,
    Que pensez-vous de la vitamine B17 qui n’est pas vendue en Belgique ?
    Merci et bien à vous.
    R.Bourdon

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