Les huiles essentielles à la déchetterie ?

Chers amis,

La Commission européenne envisage de porter un coup fatal à la possibilité de prendre soin de sa santé.

L’objectif est d’interdire à la vente, ou fortement réduire, l’usage des “huiles essentielles”.

C’est le nouveau coup de poignard du lobby pharmaceutique avec la complicité du ministère des Solidarités et de la Santé ainsi que sa police, l’Agence Française du Médicament.

Cette commission voudrait classer les huiles essentielles (HE) en produits chimiques dangereux, alors qu’ils sont naturels. Leur attaque commence par l’huile essentielle de lavande, la plus prescrite.

Bientôt un triangle rouge sur le flacon d’huile de lavande ?

Si la Commission européenne réussit son coup, on risque de voir bientôt un triangle rouge sur les flacons d’huile essentielle de lavande, signe qu’il s’agit d’une substance dangereuse, et donc à interdire.

Signe surtout que la folie (ou la cupidité) s’est emparée de technocrates « hors sol » qui s’en prennent à la Nature.

La lavande vraie est un des fleurons de l’aromathérapie moderne.

Sa parfaite innocuité, son excellente tolérance, alliées à son efficacité sans ombre, ont très certainement contribué au rôle primordial quelle occupe dans toute pharmacie aromatique digne de ce nom.

Le nombre étendu d’indications traitées par cette huile essentielle la place comme une panacée universelle.

Ses propriétés thérapeutiques sont multiples :

  • Antispasmodique puissante ;
  • Calmante, sédative, antidépressive ;
  • Cicatrisante, régénératrice cutanée ;
  • Antalgique remarquable ;
  • Hypotensive ;
  • Antimicrobienne et antiseptique.

C’est l’huile essentielle royale en aromathérapie, qu’il faut avoir en permanence dans son armoire à pharmacie.

En raison de sa grande poly­valence d’action et de son innocuité parfaite, ce remède universel peut être utilisé au quotidien chez les jeunes enfants.

Voici deux petites recettes que je vous recommande de tester :

  • Mettez 4 gouttes d’HE de lavande vraie sur un bloc de bois à placer dans vos armoires à vêtements pour éloigner les mites et donner une odeur agréable à votre linge.
  • Placez 2 gouttes d’HE de lavande vraie sur le revers d’un col de pyjama ou sur la taie d’oreiller pour favoriser l’endormissement et avoir un sommeil réparateur.


Si nous n’agissons pas, demain, il nous faudra une ordonnance pour acheter de l’HE de lavande…

La Commission européenne souhaite « revoir la classification de certains produits et pourrait classer l’HE de lavande parmi les produits dangereux d’ici à 2025 ».

Trop d’acteurs économiques, à commencer par les laboratoires pharmaceutiques ont intérêt à voir la filière s’effondrer.

Ils avaient réussi à réduire l’usage de plantes médicinales dans toute l’Europe sous couvert de protection du consommateur, un immense cadeau fait à Big Pharma !

Récemment, 15 huiles essentielles supplémentaires ont été interdites à la vente libre en les réservant aux seuls pharmaciens.

Et demain le thym, l’eucalyptus, l’origan ?

Nous devons être des centaines de milliers à dire non à la Commission européenne.

Pour cela, il faut se mobiliser et ne pas se coucher devant cette mafia.

Si vous ne l’avez pas encore fait, vous pouvez signer la pétition “NON au projet européen de destruction des huiles essentielles ! https://sauvons-l-huile-de-lavande.com

Les journalistes et experts complices du lobbying ?

Depuis 18 mois, l’ensemble des médias est uniquement braqué sur les commentaires plus ou moins cohérents d’experts de cette pandémie, lesquels ne disposent d’aucun remède efficace.

Et pendant ce temps-là, toujours aucune allusion officielle aux thérapies naturelles.

Jusqu’au jour où ! À savoir le mardi 28 avril 2020, on découvre dans le quotidien « Le Parisien », cet article de l’ANSES intitulé « Contre le Coronavirus, les huiles essentielles font pschitt ».

L’Agence de sécurité sanitaire révèle que ces produits n’agissent pas sur la Covid-19 et peuvent provoquer des effets indésirables.

« De peur de contracter le virus, certaines personnes se servent des huiles essentielles pour assainir l’air intérieur de leur chambre ou de l’habitacle de leur voiture, en étant convaincu que la Covid-19 n’y résistera pas, mais cela n’a aucune efficacité prouvée », insiste Cécilia Solal, toxicologue à l’ANSES.

Par ailleurs, l’Agence de sécurité sanitaire s’inquiète des cas « d’automédication » ; certains thérapeutes et particuliers utilisent des HE par voie orale pour « renforcer leurs défenses naturelles ».

Et même si de nombreux produits à base d’HE revendiquent des effets virucides et bactéricides, l’ANSES rappelle que « ces propriétés n’ont pas été évaluées au niveau européen et qu’elles ne s’appuient que sur les promesses des fabricants ».

Pourtant, depuis un demi-siècle, les HE sont étudiées selon des normes scientifiques, il a été prouvé qu’elles enrayent toutes les infections nosocomiales : dans les blocs opératoires, dans les maternités, dans les cabinets médicaux, dans les crèches, etc.

Nous disposons de tonnes d’expérimentations que personne ne prend le soin d’étudier.

Comment peut-on recruter de tels pseudo-experts dans une prestigieuse agence sanitaire !?

Leurs collègues étrangers et les universitaires doivent être choqués par une telle ignorance et mauvaise foi.

Aux quatre coins du monde, des études scientifiques montrent l’intérêt de substances naturelles dans la lutte contre le Coronavirus.

Et pourtant aucun virologue ou épidémiologiste ne peut mentionner quelles sont ces substances efficaces, ni comment les utiliser.

Pourquoi ?

Tout simplement parce que ceux qui les recommandent et prescrivent risquent d’être condamnés par la justice !

L’Ordre des médecins à la solde des trusts pharmaceutiques

Qu’attend l’Ordre des médecins pour condamner les professeurs qui paradent sur les différents plateaux pour proposer des remèdes iatrogènes et inefficaces ?

Le professeur Raoult résume la situation :

« Pâtissant d’une innovation en berne, les laboratoires pharmaceutiques produisent très peu de nouvelles molécules. Pour combler ce manque à gagner, ils dépensent des sommes colossales pour financer les études et le marketing de molécules très légèrement modifiées, n’apportant pas de gain en termes d’efficacité, mais beaucoup plus chères ou pour de nouveaux usages de médicaments. Ces chercheurs sont soumis à une pression forte de l’industrie, car s’ils arrivent à mettre ces nouveaux médicaments dans les guides thérapeutiques, c’est le jackpot pour le fabricant ».

Régulièrement, les mafieux des trusts pharmaceutiques sollicitent une personnalité médicale pour dénigrer nos chères huiles essentielles. Pour cela, Big Pharma trouve des mercenaires cupides aptes à porter la mauvaise parole et décrier les bonnes thérapies.

Après Jean-Louis Montastruc, le professeur toulousain chargé de la pharmacovigilance, le docteur Claude Malhuret, ex-président des Médecins Sans Frontières, sénateur, s’est porté volontaire.

Il s’est distingué dans l’amphithéâtre du Sénat par une critique violente contre les remèdes naturels, où il n’a pas hésité à mettre sur le même plan « lesmédecines farfelues, les bains d’eau chaude et…les huiles essentielles ».

Haro, donc, sur les huiles essentielles, le tout sous les applaudissements des collègues…

Après cette mission peu glorieuse, l’ex-médecin humanitaire, peut espérer la Légion d’honneur et peut-être la place suprême du Sénat !

Cette HE qui a enrayé une épidémie de grippe aviaire !

Je connais cet ex-président des Médecins Sans Frontières, il m’avait envoyé en 1977, dans un camp de réfugiés laotiens où vivotaient 130.000 réfugiés.

Un jour, l’un d’eux me prend à l’écart.

Sa demande me paraît insolite.

Il me parle de poules qui meurent les unes après les autres, et m’invite à le suivre.

Je découvre des centaines de poules gisant sur le sol, elles ne semblent pas très en forme malgré la prise d’antibiotiques conseillée par le vétérinaire.

Dans un tel environnement concentrationnaire, une épidémie de grippe aviaire avait fait irruption.

Que puis-je leur proposer ?

Pour­quoi ne pas leur donner des huiles essentielles anti­virales ?

J’achè­te un demi-litre d’huile essentielle d’eucalyptus radié.

J’explique ma straté­gie au réfugié, et je verse 3 cuillères à soupe d’HE d’eucalyptus dans une petite caisse en bois contenant les grains de maïs. Les poules les plus gaillardes les picorent.

Trois jours plus tard, il vient me retrouver « Krou peth thom ! Docteur ! c’est un miracle, vous avez sauvé mes poules ! Maintenant elles caquettent et les coqs rechantent » !

Nous étions en 1976 !

Encore une fois je venais de démontrer l’efficacité des HE à phénols dans toutes les infections bactériennes et virales (sauf le VIH).

Cette « expérimentation » qui représentait un petit miracle pour ces réfugiés, s’était répandu dans le camp, puis dans la région et repris par la presse internationale.

Le docteur Claude Malhuret, a dû oublier cet événement qui avait fait grand bruit !

Je lui suggère de lire mon livre sur Alzheimer et les odeurs, ça lui rafraîchira la mémoire…1

Santé !

Jean-Pierre Willem



Sources :

1. JP Willem : Alzheimer et odorat: quand les aromes restaurent la mémoire

41 commentaires pour “Les huiles essentielles à la déchetterie ?

  1. A L epoque j ai refuse l entree de la France dans l UE, surtout dirigee par les allemands
    Elle nous coute TRES TRES CHER ET NE RAPPORTE RIEN BIEN AU CONTRAIRE
    IL EST URGENT DE SORTIR DE CE SYSTEME ET DE RETROUVER NOTRE AUTONOMIE.

  2. Si la “disparition” de ces huiles essentielles et autres remèdes qu’utilisaient mes parents et grands Parents paysans vivriers savoyards, ( ils n’allaient jamais voir les médecins… trop coûteux pour leurs moyens à l’époque… et se soignaient avec les plantes, je l’ai vu dès mon jeune âge… ) venait à être imposée, il faudrait qu’on explique par le net et autres comment les faire soi-même… en souhaitant que les livres de TREBEN et autres ne soient pas interdits…

  3. Comme pour l’homéopathie, il y a longtemps que ça les démange. Tout ce qui n’est pas chimique, alors que les effets secondaires sont inévitables, est à proscrire. Il faut absolument s’élever contre ces faiseurs de fric qui n’en auront jamais assez. Après les HE, à qui le tour. Le bruit coure que les ostéopathes seraient dans le collimateur…

  4. C’est un scandale et un non sens. Ces messieurs veulent protéger les abeilles…. Si ils suppriment les plantes à partir desquelles les HE peuvent être fabriquer…., les abeilles sur quoi vont-elles butiner ?????? Et bientôt il va falloir voter ??????

  5. Les He sont bien la Médecine de l’Avenir et surtout de “l’À venir”…Quand on sait par exemple que l’HE de Criste marine est utilisée par certains abattoirs pour désinfecter les tables de découpe..ou l’HE de Romarin à verbenone pour désinfecter les instruments de chirurgie parce que les molécules chimiques ont atteint leurs limites…Merci pour cet article..il va falloir résister une fois de plus contre ces technocrates et les lobbys …

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