Homéopathie : et vous, c’est quoi votre «type» d’homme ?

Cette lettre parle des tempéraments et des types « d’hommes »… mais je sais que c’est vous, Mesdames, qui allez la lire avec le plus d’attention.

Cela vous aidera peut-être à mieux les comprendre, à mieux les supporter (même si certains types sont un peu insupportables ).

Les descriptions des 3 « types d’hommes » qui suivent sont autant de petits tableaux où j’ai tenté, en quelques lignes, de brosser une esquisse générale.

Chaque « type » est en relation avec un médicament homéopathique particulièrement important qui sera le médicament de terrain de ce sujet-là.

Tout n’est pas dit, bien évidemment, dans ces descriptions.

Mais en les observant, vous pourrez retrouver certains grands caractères, certaines grandes tendances et commencer à vous orienter pour déterminer le remède de terrain le mieux adapté.

Type numéro 1 : le sujet Nux Vomica

Comment se présente-t-il ?

Dominateur et hyperactif, querelleur et tatillon, excessif en tout jusqu’à la voracité, agressif, le sujet Nux vomica conserve cependant, tant qu’il est équilibré, un excellent pouvoir d’adaptation. Sédentaire, il abuse volontiers et régulièrement du café, du vin, des alcools et du tabac.

D’emblée, en franchissant le seuil de la porte, le personnage se présente : impatient, jamais content, tendu par l’effort, il donne l’image d’une irritabilité et d’une violence qu’il ne saura maîtriser. Il n’aime pas attendre et il se fâche avec le premier venu ; le moindre obstacle du jour sera motif à explosion ou à querelle. Il reconnaît son intolérance, mais c’est auprès de l’innocent, de l’étranger qu’il jettera ses flammes et son courroux.

Sa femme dira de lui, dans un sens évident de conciliation : « Il a toujours raison… »

Nux vomica est bien reçu dans la société, car, si l’on doit supporter son ton de commandement, il sait se vouer au travail : c’est l’hyperactif qui se tue à la tâche. S’il fait des reproches aux autres, c’est qu’il est lui-même rempli de zèle dans l’action.

C’est l’homme qui injecte toute sa chaleur, sa puissance, dans l’effort du jour ; c’est l’homme intraitable des dossiers. Mais pour couvrir le présent, suivre le moindre détail, il doit stimuler sa mémoire : alors il fume, il se dope, il cherchera tous les stimulants pour alimenter son ardeur.

Ses drogues seront la bonne chère, la sédentarité, les excès de toutes sortes, le téléphone à chaque main pour transmettre les commandements et franchir les obstacles. Et pour éperonner le temps, il se tournera vers tous les stimulants de la pharmacie : ceux qui fortifieront son foie, son estomac, son cerveau, toujours taxés de quelque paresse.

Son physique

Il s’agit d’un sujet souvent un peu trop gros, empâté par les excès de nourriture et la sédentarité. Souvent de type sanguin, il se présente cependant parfois sous l’aspect d’une personne de morphologie moyenne lorsqu’il garde un bon contrôle de ses pulsions boulimiques. Nux vomica est plus souvent un homme qu’une femme, bien que nombre de nos compagnes qui dirigent leurs entreprises correspondent très exactement à cette typologie. Et du fait de la parité homme-femme, cers derniers auront des profils de Nux Vomica. Adieu la tendresse, la gentillesse et la conciliation ! Ne trouve-t-on par des femmes commissaires, des ministres de l’armée, des grands reporters…

Ses maladies

Malgré ses excès, Nux vomica reste longtemps apte à s’adapter à la situation qu’il vit. À l’instar de Sulfur, les stress représentent pour lui un stimulant. Mais il est plus excessif que ce dernier et se rapproche ainsi d’Aurum metallicum : ainsi sous le stress représenté par un échec professionnel ou une blessure de son orgueil, il peut décompenser. Il perd alors confiance en lui et s’installe la dépression avec hyper-anxiété et, parfois, notamment sur les terrains alcooliques fréquemment rencontrés chez ce type de per­sonne, des phases d’excitation euphoriques et agressives.

Fragile sur le plan cardio-vasculaire, c’est souvent par l’hypertension qu’il somatise son angoisse. Mais il est aussi familier des crampes de tous ordres, gastriques ou musculaires, ainsi que des spasmes de son gros intestin.

Nux vomica est frileux, il prend facilement froid et craint les courants d’air. Il n’est pas rare qu’il attrape un rhume après passage chez le coiffeur, il redoute aussi le bruit, la lumière, les odeurs fortes, la douleur, et l’on recherchera en vain la petite concession dans son univers d’intolérance.

Nux vomica souffre de son tube digestif : il aura des lourdeurs à l’estomac une heure après avoir mangé ; une pierre semble occuper la place et il se sentirait bien s’il pouvait vomir, ce qu’il cherche à faire bien souvent. Son ventre lui paraît ballonné, le foie engorgé et les gaz nombreux ; mais sait-il que depuis trop longtemps les relations avec le vin et l’alcool sont en cause et que les abus se sont lourdement accumulés dans son corps et dans son cerveau ; la nausée en haut, les hémorroïdes en bas, voilà de quoi alimenter la mauvaise humeur, et l’on se retournera vers le pharmacien pour solliciter le stimulant merveilleux (un de plus) pour ses fonctions alourdies.

Nux vomica subit toutes les contractions, toutes les excitations. Son dos est constamment contracturé et libère douleurs et gémissements au réveil. Il aura de nombreuses crampes de bonne heure dans son lit et ce spasme, dû à une multitude d’intoxications, sera affligé par l’aggravation matinale de tous ses maux : le vertige, la migraine, la nausée, les contractures, la mauvaise humeur, tout se déclenche sans ménagement au réveil.

Règles d’utilisation

Chez le sujet de ce type, une prise de NUX VOMICA 15 CH, une dose chaque semaine, le dimanche matin, et une prise du même médicament NUX VOMICA 5 CH, 3 granules avant les repas et avant de se coucher. Des cures de 2 à 3 mois sont conseillées durant les périodes de stress notamment. Les cures peuvent durer plus longtemps en cas de stress permanent.

Type numéro 2 : le sujet Sulphur

Comment se présente-t-il?

Le sujet Sulfur est un actif et même un hyperactif. Il aime la vie, il aime l’action, il est gai. Le plus souvent optimiste et généreux. Volontiers joyeux drille, se liant facilement, prêt à partager la fête avec autrui, il dirige avec fermeté mais souvent avec bonhomie, son équipe, son usine, ses collaborateurs.

Sulfur a peu de chance de passer inaperçu au niveau de la société ; son image jupitérienne, faite de rondeur, témoigne de sa réussite, de son rayonnement. Il communique sa chaleur à son entourage et à tous les projets ou initiatives sociales qu’il anime : son esprit pratique, son souci de la considération, voire son matérialisme, ne sont pas pour déplaire, bien au contraire. Son visage est un peu trop coloré, ses oreilles rougissent rapidement dès que monte la chaleur d’une pièce, tout est rouge comme le symbole du ruban à la boutonnière auquel secrètement il aspire.

Cet hyperactif sanguin va pêcher par sédentarité et par goût impénitent pour les faiblesses de la chair, les plats en sauce, les douceurs, les alcools et les vins capiteux et un certain plaisir des sens ; chef par vocation, il présente de vifs et brefs accès de colère, rapidement oubliés (vite impressionné, vite calmé).

Il a tendance à somnoler dans une pièce chaude, s’assoupit devant un poste de télévision pour mal s’endormir ensuite, car la chaleur du lit l’incommode, ses pieds cherchent les endroits frais et la chaleur lui occasionne des démangeaisons brûlantes qui affligent sa peau. Toute rougeur s’accompagnera de brûlure à la chaleur du lit, et son sommeil aura l’agitation d’un encombré circulatoire qui a du mal à trouver son repos.

Son physique : 

On distingue, sur le plan physique, deux types de sujet Sulfur:

    • l’un est plutôt gras, pléthorique, congestif, bouche dilatée, lèvres charnues, narines ouvertes, peau chaude en permanence;

 

  • l’autre plutôt maigre, à la bouche mince, lèvres étroites, narines fermées.

On utilise fréquemment pour se souvenir de ces deux tableaux extrêmes, l’image de Don Quichotte et de Sancho Pança.

Ses maladies

Après une telle description du sujet Sulfur, on imagine assez bien qu’il s’agit là, à priori, de la personnalité la moins stressée que l’on puisse rencontrer. Pour Sulfur, le stress est plutôt le moteur de sa vie quotidienne, l’aiguillon qui le propulse, de nouveau, vers l’avant lorsqu’il s’assoupit un peu dans la facilité d’une existence bien réglée voire trop bien organisée.

Cependant Sulfur est, d’une certaine façon, fragile. Sa sociabilité superficielle et un peu facile peut le conduire à des excès qu’il vit mal. Fragile au niveau cardio-vasculaire, les stress, éventuellement répétés peuvent provoquer des accidents coronariens ou cérébraux de gravité variable. De plus, habitué à vivre dans la plénitude de la santé, il supporte mal de devoir interrompre son activité pour se soigner et sombre alors facilement dans la dépression. On peut dire qu’il vit très mal le stress de la maladie, même la plus anodine. C’est cette étonnante caractéristique qui a fait dire de lui qu’il était « un colosse aux pieds d’argile ».

Sulfur s’installe dans son destin circulatoire : varices, hémorroïdes, surcharges digestives, rénales, poussées de tension accompagnées de constantes manifestations cutanées. L’asthme, l’eczéma, les migraines alternent avec les poussées rhumatismales ou les crises de diarrhée salutaires. Il commencera à se plaindre du dos en se levant d’un siège ou en sortant de sa voiture, car il n’aime pas rester longtemps debout : visiter un musée est un calvaire physique, la réception avec le petit verre à la main lui donne le plaisir du verre, mais pas celui de rester immobile. Il grossit, sa tension s’élève, son visage se dilate et s’empourpre proportionnellement à son expansion sociale.

Il aime les honneurs et la société. Les mises en garde du médecin seront mal observées et le regard sur le voyant des lipides, du cholestérol, de la glycémie l’impressionne peu (toujours au-dessus, ces chiffres ne semblent inquiéter que le médecin).

Sa physiologie, son équilibre moral ou physique dépendent de la qualité de ses émonctoires (foie, reins, intestins). Leur activité lui feront voir la vie en rose ou le précipiteront dans un noir pessimisme.

Il alternera curieusement des phases de jovialité étourdissante, brillant en société de tous ses feux, et offrant à sa compagne la phase dépressive, découragée, voire anéantie, insoupçonnée, qui suit les phases d’euphorie. Lorsque Sulfur entraîne son monde d’une façon trop enthousiaste, il y a lieu de craindre des phases dépressives. Mais l’âge arrive. Il commence à avoir les jambes lourdes, il s’assoupit et se ralentit.

La femme présentera un tableau semblable avec en prime la rondeur des bouffées de chaleur intenses, instantanées, gagnant la périphérie, le sommet de la tête et les jambes, souffrant par tous les temps des intolérances à la chaleur de Sulfur.

L’arthrose l’enraidit, l’hypertension de l’âge moyen, la sclérose vasculaire l’accompagnent désormais. Un tel tableau, traité par des doses régulières de Sulfur et allégé par le drainage des filtres naturels du corps (rein, intestins, foie), permettrait d’allonger leur espérance de vie et d’amoindrir la prime d’assurance (qui, au début du siècle, tenait compte des traitements homéopathiques).

Règles d’utilisation

Chez le sujet de ce type, en cas de déséquilibre, une prise de SULFUR 15 CH, une dose chaque semaine, le dimanche matin, et une prise du même médicament SULFUR 9 CH, 3 granules chaque soir avant le repas ou avant de se coucher. Des cures de 2 à 3 mois sont conseillées durant les périodes de stress notamment. Les cures peuvent durer plus longtemps en cas de stress permanent.

Le fait de prendre du sulfur, ce personnage flamboyant se mettra à l’abri d’une pathologie cardiovasculaire. Ce remède peut être un miracle.

Type numéro 3 : le sujet Argentum nitricum

Comment se présente-t-il?

Le sujet Argentum nitricum est un inquiet, angoissé chro­nique, impatient, hâtif et agité. Malgré une intelligence et une lucidité de bon niveau, il doute de tout, de lui-même d’abord et des autres ensuite. Il se lance à corps perdu dans des activités de tous ordres qu’il encombre de rituels conjuratoires et de vérifications tatillonnes et qu’il voudrait voir terminées avant de les avoir commencés.

Argentum nitricum présente une agitation phobique fondamentale, source de harcèlement et d’épuisement pour son entourage : il a été habité durant toute sa vie par des angoisses absolues, irrationnelles, qu’il a compensé par une impérieuse agitation. La précipitation est l’indice d’une inexorable lutte contre l’ennemi inexorable : le temps, qu’il lui faut maîtriser. Tous ses actes sont accompagnés de hâte excessive, de brusqueries et de maladresses ; il cherche à avaler la vie comme il engloutit ses repas, vite, en raffolant des sucreries qui lui abîment l’estomac et lui donne un diabète de type II. Pour lui, les loisirs, voyages ou vacances sont source d’angoisse.

Argentum nitricum est le régulateur des gens très pressés, hâtifs, anxieux, se battant encore plus avec le temps au moment apaisant de la retraite. Non seulement il vieillit mal ; c’est un insupportable hypochondriaque et sa suractivité cérébrale qui ne trouve pas d’emploi se polarise sur des appréhensions en chaîne autour de soi, pusillanimité tatillonne, avec peur de la mort, de la maladie, de la foule, de la solitude…, une suite de malentendus anxieux avec la vie. C’est le personnage le plus insupportable de la mise à la retraite : il souffre d’une régression égocentrique très appréhendée par l’entourage.

Son physique

Un sujet qui court sans cesse, y compris après le temps, ne peut pas être pléthorique ! Argentum nitricum est donc plutôt maigre et son visage reflète cette angoisse.

Son psychisme

Le sujet Argentum nitricum est, avant tout, un obsessionnel, culpabilisé et profondément humilié au fond de lui. Mal adapté à la réalité, mal adapté au temps, il se vit faible et ulcéré de sa faiblesse. Pour compenser, il va se précipiter pour tenter de tout faire, de tout avoir, de tout savoir. Avide de connaissances, il va accumuler les diplômes de façon désordonnée ; avide de reconnaissance sociale, il va multiplier les contacts, se faire des relations, solliciter des protections, des interventions souvent maladroitement. Avide de réussites professionnelles, il va en faire trop, multiplier ses activités en des lieux différents, en s’imposant, parce que mal organisé, des itinéraires compliqués qu’il parcourt à toute allure !

Le comportement d’Argentum nitricum est à l’image du personnage : la moindre excitation mentale (convocation, départ en vacances — il part mentalement en vacances 3 mois avant les autres et au premier jour d’arrivée il pense déjà au départ) lui provoque une accélération intestinale, une débâcle rapide, une libération incontrôlée (maladresse et rapidité sexuelles), il a peur du vide, d’être enfermé (il n’aime pas les verrous et les ascenceurs), il ne sait pas apprécier les distances lorsqu’il conduit sa berline.

Il a peur des montagnes, des édifices modernes élevés, des grands magasins, des angles de rues qui lui paraissent mal ajustés et des immeubles qui semblent s’incliner vers lui. Mais son angoisse majeure, incontrôlable, se porte sur la maladie, la peur de devenir fou, d’avoir un état incurable, et ce malade, peu préparé au troisième âge, à la maladie chronique, va empoisonner son entourage par le déversement de son moi agité. C’est le plus mauvais malade du troisième et du quatrième âge, par son angoisse asphyxiante, intense, qui s’accompagne de pusillanimité, d’obsessions allant jusqu’à la peur du jugement dernier.

Ses maladies

On comprend que tout est stress chez ce sujet et que cela puisse déclencher une anxiété d’anticipation pour le moindre évènement, qui peut se transformer en paniques incontrôlables.

Aborder la réalité est toujours pour lui un problème qui se traduit par de véritables phobies contradictoires : ainsi il a peur de la foule mais il redoute d’être seul entre quatre murs !

Plus graves sont les manifestations organiques de ces paniques.

Lorsque les angoisses se manifestent trop violemment, ce sujet va se fabriquer des ulcères : ulcères de la bouche, ulcères de l’estomac, du duodenum, du colon, du rectum.

Règles d’utilisation

Chez le sujet de ce type, une prise d’argentum nitricum 30 CH, une dose chaque semaine, le dimanche matin et une prise du même médicament argentum nitricum 9 CH, 3 granules chaque soir avant le repas ou avant de se coucher. Des cures de 2 à 3 mois sont conseillées durant les périodes de stress notamment.

Les cures peuvent durer plus longtemps en cas de stress permanent.

Notons que ce remède est également utilisable dans la phase aiguë de certains stress chez des sujets qui ne correspondent pas au type décrit. On utilisera alors argentum nitricum 7CH.

Pour le trac, les phobies, le vertige des hauteurs, les tremblements, prendre Argentum nitricum en 5 CH ou 30CH, 1 dose par semaine.

Est-ce qu’il y a des « types » plus faciles à vivre ?

Mesdames ! Vous pourriez me demander si l’homéopathe ne dispose pas de portraits plus agréables à vivre, plus conciliants, plus délicats, sachant repasser et faire la vaisselle !!

Il y aurait Pulsatilla, la plus disponible, mais que l’on trouve rarement chez votre partenaire et pour la vie entière.

Maintenant vous pouvez vous faire une idée des comportements humains (ses qualités et ses défauts).

Seule l’homéopathie est apte à plonger dans l’intimité de l’homme. Je blâme les détracteurs de cette belle médecine naturelle qu’ils n’ont jamais pris le soin d’étudier. Cela suppose de longues années d’expériences et un questionnaire du malade qui dépasse les 20 minutes.

C’est à ce prix que les malades retrouvent leur confiance en leur médecin et que la sécurité sociale sortira de l’abîme dans lequel elle est plongée !

Il s’agira d’observer, d’entendre, de relever et de vérifier les symptômes, puis d’en rejeter et de sélectionner les meilleurs, car le recours à l’information ne doit pas être total, et le médecin ne tirerait aucun avantage à totaliser le savoir tel l’ordinateur.

Il doit valoriser, c’est-à-dire apporter l’intelligence d’un choix.

Dans ce temple exigeant de l’art, la finesse de l’observateur doit rejoindre la vocation d’une médecine de qualité. Elle doit s’écarter du sommaire ou de l’imprécis pour rejoindre la profondeur de l’inapparent ou des significations cachées.

44 commentaires pour “Homéopathie : et vous, c’est quoi votre «type» d’homme ?

  1. je suis donc nux vomica, je n’y croyais pas trop

    j’ai souvent besoin de “phosphore”? mon médecin , m’a habitué il y a 40 ans à réagir homéopathiquement, selon les aléas, en achetant le dictionnaire”” LOUIS pOMMIER
    MAINTENANT IL FAUT FAIRE UN DIAGNOSTIQUE
    avec le livre de poche, cela est plus facile aujourd’hui,
    souvent 2 tubes suffisent et si le traitement n’est pas bon cela est sans danger
    c’est contraignant et souvent ridicule pour le commun des mortels à notre époque
    mais idéal pour les enfants ,et quelque fois le geste rassure j’ai remarqué, que les granules sont plus efficace, si respect du gout , café thé chocolat etc
    j’ai bientôt 80 ans

  2. Pour se protéger du type “Argentum Nutricum”
    que dois-je prendre ? que dois-je faire?
    Je suis passée par toutes les phases d’ épuisement après 57 ans de vie commune !!!!!!!!!

  3. Certes, je trouve très instructive, très bien tournée cette analyse des types psychologiques associés à l’homéopathie. Le problème est que comme souvent dans ce genre de classification on ne se reconnaît que partiellement dans un type et, pire, on se retrouve plutôt en une combinaison d’aspects relevant de plusieurs types, ce qui rend sans doute la pratique homéopathique plus difficile quand il s’agit d’appliquer le traitement correspondant. Les types purs qui correspondent exactement aux descriptions théoriques doivent être rares ! Alors comment faire ?

  4. J’ai eu la chance d’avoir de bons homéopathes unicistes à Besançon et cela depuis 66 ans.
    Malheureusement (pour cela seulement) j’ai quitté la région et trouver un vrai médecin homéopathe est une entreprise quasiment vouée à l’échec.
    Si seulement les “décideurs” politiques voulaient bien se pencher sur le sujet sans A PRIORI et surtout sans penser aux tiroirs-caisses des chimistes ….. quel mieux-être pour tout le monde et que d’économies …

  5. Très intéressante analyse! Je suis une Phosphorique depuis longtemps (mon homéopathe est uniciste) et je retrouve dans Nux vomica les traits de caractères de mon mari?.*Merci mais encre peu de gens comprennent tout ça!

  6. Bonsoir,
    j’ai du mal à reconnaître mon mari, décédé il y a 4 mois, dans l’un de ces types mais il mariait totalement le premier et le 3e type d’homme, ayant d’ailleurs “consommé” les deux types de remèdes homéopathiques.
    Il est mort d’une pancréatite foudroyante (5 jours) et des amis, médecins ou touchant à la naturopathie, m’ont indiqué que son angoisse et surtout sa colère contre les injustices et les malheurs ont rongé son pancréas. Qu’en pensez-vous ?

  7. Bonjour,
    Personnellement je ne me soigne que de cette façon surtout quand on voit le désastre de certains médicaments (levotirox pour ne citer que lui). D’autre part, l’homéopathie n’a plus rien à prouver sur son efficacité et sur la confiance que ceux qui l’emploient.

  8. Bonjour Monsieur,
    merci pour cette analyse de ces 3 caractères . En avez-vous d’autres car je ne me suis pas vraiment reconnue parmi ceux-là (cependant, j’ai repéré certains de mes concitoyens!)
    Merci et bel été à vous

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