Est-ce la fin des haricots?

Chers amis,

Les adieux à 2021 n’ont pour beaucoup, pas été déchirants. Après des mois marqués par l’épidémie de Covid-19, le saut dans cette nouvelle année était très attendu. Pourtant, le virus va une nouvelle fois bouleverser nos habitudes : les tests vont ryth­mer le quotidien de milliers d’élèves, les salariés vont renouer avec le télétravail, boire ou manger ne sera plus permis dans les transports.

Le raz de marée Omicron semble aussi traumatisant que le premier confinement il y a deux ans. Pourtant, les masques, les doses comme les tests sont disponibles. Les Français, qui voyaient le bout du tunnel avec leurs deux premières injections, assistent, sidérés, à ce tsunami qui aura mis quinze jours à tout bousculer et à devenir majoritaire. Nombreux sont ceux qui ont renoncé à réveillonner, comme si le cœur n’y était pas, alors que les personnes positives ou cas contacts se déclarent partout. Avec la fin des vacances, le retour au travail s’annonce chaotique. L’absentéisme risque d’être massif, y compris dans les hôpitaux déjà exsangues…

60 % de gens contaminés le sont désormais par Omicron, et c’est à ce variant, qui est en train de prendre progressivement le dessus du Delta, qu’on doit la vitesse de propagation exponentielle et foudroyante actuel­le ». Cette flambée de contami­nations peut-elle pour autant se transformer… en feu de paille ?

Toute la planète est touchée

« On est actuellement en phase de décrue de Delta, et on verra probablement les premiers impacts d’Omicron entre la première et la deuxième semaine de janvier », avance Philippe Amouyel, épidémiologiste. « S’il est moins grave que les autres variants et n’entraîne que des rhumes, il n’y aura pratique­ment pas d’impact à l’hôpi­tal mais s’il est aussi dangereux que Delta, alors ce sera la cata… », c’est que partout sur la planète, le nombre de cas de Covid-19 explose. Plus de 935 000 personnes en moyenne sont atteintes par le virus chaque jour.

Omicron sera-t-il finalement moins mortifère que Delta ? « Ce n’est pas forcément que ce variant soit moins dange­reux, mais qu’il circule au milieu d’une population qui vient d’avoir récemment sa troisième dose de vaccin », sou­ligne le spécialiste car, pour l’heure, les cas observés concernent sur­tout des « populations jeunes et en bonne santé dans des pays avec des taux élevés de vaccination ». Re­prenant l’image d’un tsunami en train de déferler, Philippe Amouyel estime qu’il n’y a que trois solutions pour « réduire la vague et l’écraser » : « La vaccination à trois doses, les ges­tes barrière et l’aération. Il fait incroyablement doux en Fran­ce en ce moment : profitez-en pour fêter le début d’année et ouvrir les fenêtres ».

L’inquiétude monte néanmoins. Martin Hirsch, le patron des Hôpitaux de Paris, n’est pas très rassurant quand il reconnaît que « ça va tanguer » ! L’autre nouvelle intéressante provient d’Israël, où l’on se demande si cette vague ne va pas donner le coup de grâce au Covid. En touchant des millions de personnes, Omicron pourrait permettre d’atteindre l’immunité collective ! On a très envie d’y croire.

Déjà, de nouveaux traitements américains sont annoncés. A la mi-janvier, un médicament de Pfizer (le Paxlovid) et, au printemps, d’autres vaccins pour contrer ce nouveau variant ; 2022 qui commence bien mal, nous donne-t-il de bonnes raisons d’espérer ?

Le plus heureux, le patron de Pfizer peut se réjouir d’avoir les bourses pleines (40 milliards). Les pharmaciens ne se plaignent pas trop (les barnums sont fréquentés) ! Tandis que la Bourse de Paris et le Cac 40 sont au sommet malgré le Covid.

Alors que nombre d’experts craignent une paralysie du pays en janvier, voire une embolie des services hospitaliers conven­tionnels, Olivier Véran semble (un peu) moins pessimiste qu’à l’accoutumée en début de vague. On se prend à rêver quand il prétend que celle due à Omi­cron pourrait être « la dernière ».

Cette cinquième vague sera-t-elle la dernière ?

Omicron est telle­ment contagieux qu’il va toucher toutes les populations du monde. Il va entraîner une immunité renfor­cée : on sera tous plus armés après son passage. Mais pour mettre un maximum de chances de notre côté, le corps professoral conseille vivement de continuer à vacciner la planète en urgence, notamment dans les pays où l’accès aux doses est plus compliqué, parce que c’est là que peuvent émerger les variants les plus dangereux.

Par ailleurs, l’épidémie de Delta n’est pas terminée. La vague Delta est toujours responsable de la montée des hos­pitalisations en réanimation dans toute la France, avant même l’impact sanitaire d’Omicron. Ce virus conti­nue de circuler à un niveau élevé, avec 230.000 contaminations par jour. « Nous aurions pu espérer un effet de compétition entre les deux variants, qu’Omicron remplace Delta, mais ce n’est pas le cas », confirme un expert. Les deux vagues se cumulent pour former une lame de fond. C’est pour cela que nous avons encore besoin de mesures comme le port du masque, la limitation des ras­semblements, le télétravail, pour freiner Delta.

Le Covid long serait dû à un autre virus

La réactivation du virus d’Epstein-Barr (EBV), responsable de la mononucléose et qui est dormant chez quasiment tous les adultes, pourrait être l’élément déclencheur des Covid longs.

L’EBV est dormant chez quasiment tous les adultes (95%). Il ne provoque pas de symptômes, mais peut se réactiver en cas de stress intense, de déficit immunitaire ou encore d’état inflammatoire. Et c’est justement cet état inflammatoire qui serait en cause dans le cas du Covid long. La réactivation du virus cause de la fatigue, de la fièvre, des maux de tête ou des problèmes neurologiques, autant d’affections qui sont comparables à celles décrites par les patients atteints de Covid long.

Les résultats des analyses ont révélé que près des trois quarts (73%) des patients Covid longs ont des anticorps spécifiques à l’EBV qui témoignent d’une réactivation. En y regardant de plus près, les chercheurs se sont rendu compte que cette réactivation s’est produite peu de temps après, voire en même temps que l’infection au virus.

Et pour neutraliser ce virus, nos « petites bombes biochimiques » sont disponibles !

Mononucléose infectieuse (EBV – Epstein Barr)

HE = huile essentielle
HV = huile végétale

  • HE Ravintsara 5 ml
  • HE Tea tree 3 ml
  • HE Eucalyptus radiata 2 ml

10 gouttes sur chaque face interne des bras, 2 fois par jour pendant 10 jours. Et, 4 gouttes de cette synergie dans une boulette de mie de pain à avaler 2 fois par jour aux repas pendant 3 semaines.

Après une réanimation ou la perte de l’odorat, recourir à « l’embaument vivant ».

Embaumement vivant

  • HE Ravintsara 7 ml
  • HE Mentha piperita 2 ml
  • HE Eucalyptus radié 2 ml
  • HECT Palmarosa 2 ml
  • HV Macadamia 5 ml

En premier lieu, faire un embaumement vivant, puis appliquer 15 à 20 gouttes sur chaque face interne des bras, 3 fois par jour pendant 7 jours, puis 2 fois par jour pendant 10 jours supplémentaires ET 5 gouttes de cette même synergie sur un support à avaler 3 fois par jour pendant 10 jours.

Des pays adeptes des huiles essentielles

On oublie de citer les performances de certains pays face au Coronavirus et autres infections virales. La Chine fut le premier pays à traduire mes livres, c’est ainsi, qu’un professeur de médecine a fait appel à mes élèves en aromathérapie pour former leurs thérapeutes. Par ailleurs, j’assure une formation par vidéo-conférence.

Citons également le Brésil qui m’a invité à organiser un congrès sur l’aromathérapie à Bella Horizonte (200 thérapeutes) ou encore les États-Unis qui commencent à appliquer les formules malgré l’opposition de Big Pharma.

Ci-dessous la couverture de mes livres, traduits en chinois et en brésilien !

Image de livre

Pour finir, on évoque souvent les capteurs de CO2 qui alertent quand une pièce est mal aérée. Son utilité est futile ; je vous recommande le réacteur oxypoll validé par le CNRS, intégré dans un décontaminateur d’air, le R-Clean 200 qui élimine les polluants, les poussières, les bactéries et les virus (Covid, grippe…) et renforce les défenses immunitaires. Distributeur : NTAE, tel : 06 99 50 15 72.

Portez-vous bien,

Jean-Pierre Willem

38 commentaires pour “Est-ce la fin des haricots?

    1. Je pense que le docteur Willem appelle “embaumement vivant” le mélange qu’il donne, soit :
      HE Ravintsara 7 ml
      HE Mentha piperita 2 ml
      HE Eucalyptus radié 2 ml
      HECT Palmarosa 2 ml
      HV Macadamia 5 ml
      Il fait référence à ‘l’embaumement’ dans sa lettre sur sa rencontre avec le Che mais aussi après les amputations qu’il a dû opérer à ses débuts, avant d’avoir son euréka sur l’embaumement egyptien d’où son idée d’utiliser les HE, notamment celle d’eucalyptus radié qu’on retrouve dans sa formulation …

  1. Bonjour je me permet davoir votre avis je suis atteint de neuropathie périphérique pieds bras surtout suite a un accident pincements de la moelle en c3 c4 jai suivi plusieurs traitements qui ont échoués j’aimerais savoir si la phytothérapie ou l’homéopathie pourrait me venir en aide merci cdlt

  2. Effectivement, les HE sont une bonne façon de se soigner du Covid. Je l’ai expérimenté à deux reprises et cela a marché à chaque fois;

  3. Merci beaucoup pour vos soins conseillés à base d’huile essentielle C’est ce que j’ai fait l’année dernière quand j’ai attrapé une espèce de grippe pharyngite bronchite (le mal de tête à duré 1 jour ou 2 )et que mon médecin était en vacances,sans remplaçant.On me disait d’appeler le 15 si j’étais malade je n’ai pas voulu encombrer les urgences. En fait c’était bien un covid.Des covids il y en a de plusieurs sortes puisque ce sont des sarscov2 au départ ,,étudiés par les laboratoires depuis trés longtemps et modifiés par des soi-disant” gain de fonction” c’est à dire en fait des mélanges de virus rajoutés au 1er.C’est criminel!D’abord c’est interdit!

  4. Bonjour, merci pour cette lettre. J’ai perdu l’odorat il a 2 ans (je n’ai pas eu le Covid) .. j’aimerais faire votre synergie mais pourriez vous m’expliquer ce qu’est un embaumement vivant …. Merci ?

  5. Bonjour Mponsieur.
    Puis-je trouver ce dépolueur d’air en Suisse, ? Pour éviter les frais de port.
    Qu’est-ce donc que l’embaumement vivant ?
    Cordialement.
    Béatrice Rouge,

  6. Les vaccins sont trop rapprochés (on se sait pas ce qu’on nous injecte). Il faudrait faire comme les autres. (un premier rappel au bout d’un an et après tous les dix ans).
    Il faudrait avancer pour recherches pour des maladies rares qui ont dû mal à trouver des remèdes.

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