CORONAVIRUS : DES ERREURS SIMPLES A EVITER

Chère lectrice, cher lecteur,

La France est à l’arrêt. Sous le choc.

Voilà presque deux semaines que nous avons atteint le stade 3 et son confinement diabolique.

La France est isolée et cloitrée, et cela risque de durer.

Les métaphores guerrières le disputent, chères aux marins les jours de gros temps « c’est la guerre, se résignent les soignants. Cette fois on y est. La vague déferle ».

Le président a enfin reconnu que c’est le début de la crise sanitaire du siècle.

Les experts sanitaires s’accordent sur un point : la crise pourrait durer des semaines, voire des mois.

Et si la chaleur retrouvée faisait refluer le virus !

Ce retournement de situation est riche d’enseignements : comment les Chinois, où a débuté la crise ont-ils pu éteindre cette é-nième pandémie ?

LA « TOUR DE BABEL » DES VIROLOGUES

Depuis trois mois le monde des médias se régale. Tous les plateaux des télés sont garnis d’experts en toute discipline.

C’est un défilé de virologues, infectiologues, urgentistes, épidémiologistes, anthropologues, mathématiciens…

Toute cette cohorte de chercheurs (mais non découvreurs) qui surfent sur les plateaux et offrent leur meilleur profil, le verbe le plus percutant pour devenir star et être à nouveau sollicité par les grands médias.

Comme le résume Roselyne Bachelot, ex-ministre de la santé, qui n’a pas brillé lors de la gestion de la crise H1N1 en 2009.

« Ces coronalogues à deux sous » parlent de ce qu’ils ne connaissent pas ».

Il arrive que leurs saillies verbales soient divergentes voire contradictoires.

Ce qu’on appelle la « babelisation » selon la métaphore de la Tour de Babel, les langages des humains sont devenus incompréhensibles.

Quant à la question essentielle, posée en fin d’interview.

« Qu’en est-il du traitement ? »

La réponse est invariablement négative. Nous ne disposons d’aucun médicament ».

Alors pourquoi les a-t-on invités ?

Pour ne pas mettre mal à l’aise le scientifique de service, on lui pose une deuxième question.

« Quand disposerons-nous d’un vaccin ? »

La réponse est évasive et n’a pas de quoi rassurer le téléspectateur.

En réalité il faut attendre au moins 8 mois pour le mettre au point.

Autrement dit, il sera disponible après 18 mois quand la crise aura avorté ! Par ailleurs, le virus peut muter …

Décidément, c’est une saga digne d’un thriller.

Il reste à nos universitaires, de citer pour la énièmes fois les gestes barrière et d’expliquer comment on se lave les mains avec des solutions hydroalcooliques.

Là aussi, il y a une faille : on n’en dispose pas !

Et de toute façon, rappelons que les solutions hydro-alcooliques « gomment » le microbiote cutané alors que le savon de Marseille convient parfaitement et est disponible.

Décidément la Nature l’emporte sur la Chimie !

N’OUBLIEZ PAS LES GESTES BARRIERE !

Des études scientifiques ont montré qu’un masque chirurgical est suffisant pour se protéger des postillons des personnes malades que l’on examine.

Tandis que les masques FFP2 sont trop chers.

Une question me taraude : pourquoi le ministère de l’armée a-t-il attendu 2 mois avant d’offrir le stock national de cinq millions de masques ?

On aurait épargné des colères et des morts (Rappelons que pour certains experts le virus stagnerait dans l’air plusieurs minutes).

            Quelques petits conseils :

  • Il est essentiel de couper courts les ongles (l’infection se loge sous les ongles) puis brosser vigoureusement comme au bloc opératoire.
  • Le lavage des mains à l’alcool détruit les virus mais aussi le microbiote cutané. Préférer le savon de Marseille.
  • Ne pas s’approcher des personnes à moins de 2 mètres ! Rappelons que l’éternuement envoie des projections salivaires à 3 mètres.
  • Couper la barbe qui peut-être un nid à microbes. Tant pis pour l’esthétique et le statut d’intello !

QUELLE THERAPIE OFFICIELLE ?

Comme les experts nous l’ont répété, il n’existe pour l’heure, aucun traitement antiviral contre le Covid-19.

Habituellement, les cas de coronavirus sont considérés comme des pathologies bénignes.

« On en guérit comme l’on guérit d’un rhume. Dans ce cas notre système immunitaire se mobilise et se restaure spontanément en quelques jours » affirme un virologue.

Plusieurs solutions sont testées à travers le monde.

Des chercheurs expérimentent des médicaments déjà existants, et efficaces contre d’autres maladies.

Il s’agit principalement d’antiviraux qui peuvent cibler d’autres pathologies virales, comme la grippe, Ebola ou le VIH, ainsi que la chloroquine, vieux traitement contre le paludisme.

Mais cette chloroquine a une fenêtre thérapeutique très étroite ; il y a peu de différence entre la dose efficace et la dose poison.

MEFIEZ-VOUS DES ANTI INFLAMMATOIRES ET ANTIPYRETIQUES

Pour lutter contre l’inflammation et l’hyperthermie certains recourent aux anti-inflammatoires et à la cortisone : c’est un non-sens aux conséquences délétères.

Tous les médicaments qui font baisser la fièvre (aspirine, ibuprofène, paracétamol, cortisone) sont à utiliser avec la plus grande prudence en cas d’infection virale.

La fièvre est un mécanisme naturel de défense contre les infections.

Les virus perdent leur virulence lorsque la température dépasse 38 °C.

Autrement dit ils se reproduisent beaucoup moins vite, laissant le temps aux anticorps de se mobiliser pour les combattre.

On sait que la gravité de l’épidémie de la fièvre espagnole en 1919-1920 fut amplifiée par l’usage massif et exagéré de l’aspirine, à une époque où l’on n’en connaissait pas les dangers.

En supprimant la fièvre, le virus recevait un coup de fouet qui agressait les organes vitaux des malades.

De même les médicaments contre le diabète et l’hypertension pourraient aggraver les infections causées par le coronavirus, ce qui pourrait expliquer les décès constatés parmi les personnes touchées par ces maladies.

La recherche a déjà démontré que les patients sous statines présentent des défenses immunitaires amoindries contre les virus de la grippe et de l’herpès.

Or, il se trouve que les personnes sujettes à des pathologies cardiovasculaires sont particulièrement exposées aux complications de l’infection au Covid-19.

Les scientifiques chinois ont également relevé que leurs malades du coronavirus, présentant un syndrome de détresse respiratoire aiguë, avaient des taux de LDL-cholestérol particulièrement bas.

La question de l’adaptation temporaire d’un traitement aux statines pourrait donc se poser dans le cadre de l’actuelle pandémie.

LES LIMITES DU PARACETAMOL

En guise d’anti-douleur, sur tous les plateaux on prône le paracétamol.

Ce serait la clef de voûte de la thérapie disponible mais quand on prend du paracétamol pendant plusieurs semaines, on peut se retrouver à l’hôpital pour une défaillance du foie même en respectant la dose autorisée (moins de 3 gr).

Par ailleurs le paracétamol épuise les réserves de glutathion, un excellent anti-oxydant qui potentialise l’action des vitamines telles les vitamines C et E.

De même le glutathion est utilisé par notre système respiratoire pour protéger les cellules saines contre les dégâts inflammatoires.

C’est ainsi qu’on prescrit l’acétylcystéine (NAC) pour augmenter les réserves de glutathion et protéger les poumons.  

LA « GUEGUERRE » DES LABOS

La concurrence entre labos risque de s’aiguiser au fur et à mesure que l’on approchera de solutions brevetables, mais, pour l’heure, ce n’est pas le cas.

En parallèle, des chercheurs planchent sur la fabrication d’un vaccin aux quatre coins de la planète.

Quel lobby pharmaceutique ne lorgne pas sur le Jackpot ?

Côté chinois, 1e gouvernement a annoncé des premiers essais potentiels sur l’homme fin avril « Fabriquer un vaccin demande du temps, cela pourrait prendre jusqu’à douze ou dix-huit mois », selon le président de l’OMS.

En France, l’institut Pasteur prend encore plus de précautions et explique que, dans le meilleur des cas, il ne sera pas disponible avant la fin de l’été 2021.

La France et la Chine ont crée le laboratoire P4 à Wuhan en 2011, un modèle de technologie au plus haut niveau mondial.

Soucieuse de la sécurité sanitaire mondiale, la France a compris la nécessité de renforcer les moyens de la recherche au plus près des lieux d’émergence des épidémies.

Cette coopération repose sur l’accord signé en 2014 entre l’Inserm, l’institut Pasteur, la fondation Mérieux et le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC),

Quelques élucubrations !

Je suis étonné que les questions posées par les téléspectateurs ne portent jamais sur les huiles essentielles.

La censure est omniprésente.

Seul un médecin y a fait allusion pour mentionner que c’était sans effets thérapeutique.

Aurait-il reçu un petit chèque !…

Mais je trouve cela assez révélateur de notre époque : dès que des personnes proposent des solutions différentes pour se soigner, il y a toujours des rabat-joie et des sceptiques pour crier à la « fake news », avant même d’avoir vérifié les données scientifiques.

C’est encore plus le cas avec les solutions naturelles qui, malgré des études toujours plus nombreuses, continuent d’être tournées en ridicule par les médias et certains scientifiques.

C’est à croire que seul le vaccin pourrait nous sauver du coronavirus…

Je rappelle que la moitié des Français recourent aux médecines naturelles.

Toutes les couches de la société en sont adeptes.

Et pourtant, le silence est pesant.

On a vu comment une bande de médecins et professeurs ont profané l’homéopathie, moyennant un chèque pour leur cupidité et lâcheté.

Pour affiner vos connaissances sur les huiles essentielles lire mes 2 livres :

  • « Les huiles essentielles, médecine d’avenir » Ed. Dauphin. (Un best-seller)
  • « Huiles essentielles antivirales » Ed. Trédaniel.

En Avril 2020 sortie d’un nouveau livre sur les virus et leurs traitements aux Ed. Dauphin.

Pour trouver l’ensemble des compléments alimentaires, je vous recommande la pharmacie des laboratoires Fenioux à Paris, 11 Rue Daru 75008. Tel : 01 40 55 94 89. Ils pourront vous conseiller.

Je vous donne rendez-vous au prochain pic, peut être après l’été.

Je conseille à l’ensemble de ces stars de la médecine de lire mes livres et de s’abonner à ma Newsletter.

Ils auront l’occasion de briller enfin légitiment.

N’oubliez pas mon dernier livre vendu sur Amazon et la nouvelle version éditée chez Trédaniel « Alzheimer et odorat » quand les arômes restaurent la mémoire.

Portez-vous bien !

Jean-Pierre Willem

187 commentaires pour “CORONAVIRUS : DES ERREURS SIMPLES A EVITER

  1. Merci de préciser quelle est la formulation aux huiles essentielles la plus efficace dans le cadre du coronavirus parmi les suivantes :
    l’une ou l’autre de la lettre santé du 29/02/2020 ou parmi les mélanges présentés dans le livre HE antivirales : coronavirus (p.126), immunité (p.141), pneumonie (p.158), SRAS ( p.165) ou autre proposée par vos soins.
    Compte tenu de la situation, une réponse rapide serait appréciée.

  2. Je voulais simplement signaler un moyen simple et auquel on ne pense pas forcément pour aider les poumons en cas de détresse respiratoire, j’ai pensé à ceci car par le passé j’étais un gros fumeur et donc il m arrivait d’avoir les poumons encrassés et de l’hypertension. Je me soulageais en posant mon nez a 10 cm d’un dispensateur d’ions négatifs et j’étais soulagé en quelques minutes ! Je pouvais dormir ensuite tranquille. Aujourd’hui que ne fume plus du tout je m’en souviens d un mal pour un bien si ça peut aider ceux qui sont atteints du virus. Les premiers échos semblent positifs. Appareil en vente dans les grandes surfaces en principe. Bon weekend. JPB

  3. Merci de vos informations. Effectivement celle-ci est ignorée des medias. J´ai répondu à une demande de Médiapart en leur envoyant cet article…….. à publier sur leur réseau. Rien lu chez eux, quelqu´un a -t-il lu quelque chose ? Restons sereins sur l´efficacité de notre système immunitaire , de l´efficacité des huiles essentielles et de notre intuition . Merci Dr Willem.

  4. D’accord, l’idéal est loin d’être réalisé en ces circonstances. Nous en avons tous conscience mais je pense qu’il vaudrait mieux axer notre bataille au niveau individuel sur la prévention en l’avantage de ce genre de site est que chacun puisse s’exprimer et je fais partie des gens qui pensent qu’il y a plus d’idées dans plusieurs têt.es que dans une; alors plutôt que de me lancer dans la polémique , je préfère être à l’écoute des différentes idées, de chacun: c’est plus constructif en pratique et meilleur pour le moral.

  5. Cher Docteur,
    D’abord merci de tous vos conseils que je conserve précieusement et que je suis de temps en temps bien sûr. Vous êtes là heureusement, dans cette cacophonie générale et vos paroles et conseils sont bienfaisants.
    Auriez-vous la grande gentillesse de me renvoyer votre lettre d’hier, du 17 avril ? Elle a été jetée par mégarde.
    Avec mon meilleur souvenir.
    Sophie Lebrun

  6. “N’oubliez pas mon dernier livre vendu sur Amazon”???
    Dr Willem,
    Pourquoi proposez-vous uniquement Amazon pour diffuser vos livres?
    Pour un médecin de médecines alternatives, ne pourriez-vous pas boycotter cette entreprise qui ne pense qu’aux profits énormes à faire sur le dos des salariés.
    Vous n’êtes pourtant pas sans connaître leurs pratiques commerciales?

    Article du 18/04/2020 – SUD Culture Solidaires
    https://solidaires.org/Amazon-pleure-mais-pas-sur-la-sante-de-ses-salarie-es
    “AMAZON PLEURE, MAIS PAS SUR LA SANTÉ DE SES SALARIÉ·ES
    La fortune de Jeff Bezos, patron d’Amazon, homme le plus riche du monde, a atteint les 140 milliards de dollars. Soit près de 24 milliards de plus par rapport au début de l’année, en pleine pandémie de Covid-19.
    Le 14 avril, jour de la décision du tribunal de Nanterre, l’action d’Amazon enregistrait encore une croissance de +5,28 % pour une croissance de 30,32 % depuis le début de l’année, donc avec l’épidémie du Coronavirus.
    Outre l’évasion fiscale, ce sont les conditions de travail et de sécurité en période de pandémie. La détresse, l’anxiété… et les contaminations, fatalement, se propagent, dans l’indifférence totale.Pendant ces premières semaines de confinement, Amazon a continué de traiter des dizaines de milliers de commandes, pour l’essentiel de produits qui sont tout sauf essentiels…La vraie question est : avons-nous vraiment besoin de ce que nous pourrions commander à Amazon durant la période ? Cela justifie-t-il la mise en danger des salarié-es ?
    Anne Marie ROSE

  7. Merci beaucoup pour vos articles plus intéressants les uns que les autres. Pourriez-vous en écrire un pour les patients qui sont sous cortisone depuis plusieurs mois (depuis Nov. 2019 en l’occurrence).
    Je suis auto-immune et atteinte de “vascularite des gros troncs”.
    J’ai compris que la cortisone est très mauvaise si on attrape le coronovirus. Que faire dans ce cas là ? ou à titre de prévention ?
    Y a-t-il d s huiles essentielles à éviter, ou D.autres à privilégier ?
    Encore une fois, merci pour tous vos conseils.
    Cordialement

  8. Compléments alimentaires : attention aux plantes qui pourraient perturber vos défenses immunitaires
    Publié le 28 avril 2020 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)

    Illustration 1
    Crédits : © Unclesam – stock.adobe.com
    Illustration 1

    Saule, reine des prés, harpagophytum, curcuma, échinacées, bouleau, peuplier, réglisse… L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) met en garde contre la consommation de certains compléments alimentaires. Ils peuvent contenir des plantes susceptibles de perturber les défenses naturelles de l’organisme utiles pour lutter contre les infections comme le Covid-19.

    Dans le contexte d’épidémie actuel, vous pourriez être tenté de recourir à des solutions dites « naturelles », telles que les compléments alimentaires contenant des plantes aux propriétés anti-inflammatoires. Attention, l’Anses attire l’attention sur le risque de consommer des produits susceptibles d’entraver la réponse immunitaire de votre organisme.

    C’est ainsi que plusieurs plantes ont été identifiées par le groupe d’expertise collective d’urgence mis en place par l’Anses. Il s’agit des plantes contenant des dérivés de l’acide salicylique (analogues de l’aspirine) :

    le saule ;
    la reine des prés ;
    le bouleau ;
    le peuplier ;
    la verge d’or ;
    les polygalas.
    Et aussi des plantes contenant d’autres anti-inflammatoires végétaux :

    l’harpagophytum ;
    les échinacées ;
    le curcuma ;
    la réglisse ;
    la griffe du chat (appelée aussi liane du Pérou) ;
    les plantes des genres Boswellia et Commiphora (connues pour leurs gommes-oléorésines appelées « encens » et « myrrhe »).
    L’Anses recommande donc :

    aux personnes consommant ces compléments alimentaires dans un but préventif de suspendre immédiatement la consommation de ceux contenant ces plantes dès l’apparition des premiers symptômes du Covid-19 ;
    aux personnes consommant ces compléments alimentaires dans un contexte de pathologies inflammatoires chroniques de discuter impérativement avec leur médecin de la pertinence de poursuivre ou non leur consommation.
    Elle rappelle également aux professionnels de santé l’importance de déclarer au dispositif de nutrivigilance de l’Anses les effets indésirables survenant dans le cadre de la consommation des compléments alimentaires.

    Rappel : des dispositions ont été prises par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) pour sécuriser l’utilisation des médicaments contenant du paracétamol ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens, notamment en les retirant de la présentation en libre accès dans les pharmacies.

  9. Vous êtes un excellent médecin, je vous félicite et prie DIEU de vous protéger au nom de JÉSUS-CHRIST. Je viens de commander votre livre intitulé <>. Qu’en est-il du livre <>, y-a-t-il des informations nécessaires qui n’ont pas été révélées dans le précédent. Je m’inscris à la formation gratuite offerte en naturopathie. Merci, il est 17 heures 21 minutes à Montréal. Bonne fin de journée

  10. Ce virus garde une part de mystère . Le brouillard est encore épais mais sa morbidité montre surtout l’impréparation ministérielle. On meurt moins du virus que du manque de soins (manque de masques, gants, blouses, lits de réa surtout) et de ces interdits ministériels en ce qui concerne les molécules efficaces, même faiblement, qui avaient permis de n’avoir pas à hospitaliser donc encombrer les rares lits “oxygénés”.
    L’aide militaire n’a été acceptée que très tardivement et celle des Labos Vétérinaires pas encore . Reste que les arômes, la vit D, le zinc ont des effets positifs et peu chers.
    Les vaccins nouveaux sont employés sur les porcs avec un certain succès mais la durée de vie du porc est courte et ses déficiences neurologiques se voient assez peu dans l’assiette . Notre espérance de vie n’est pas du même ordre.

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