Un exemple millénaire à suivre ! 

Chers amis,

Vous l’avez senti, vous aussi.

Le printemps qui commence à poser ses valises : le temps s’adoucit, le soleil pointe, les bourgeons… bourgeonnent !

Je vous l’avais déjà écrit l’an dernier mais plus que jamais cette année je voudrais rappeler l’importance du grand air, de la nature et tout particulièrement des arbres, dont l’homme devrait s’inspirer.

La crise, le couvre-feu, les confinements…

Tout cela ne doit pas nous faire oublier que des sources d’espoir sont aussi à portée de main.

Et le mois de mars est un moment idéal pour se le rappeler en allant à la rencontre de ces magnifiques être vivants que sont les arbres.

Laissez-moi vous re-conter les exploits de ses plus fiers représentants !

Le baobab, couteau suisse de la phytothérapie

Le baobab d’Afrique (Adansonia digitata) est l’arbre le plus caractéristique d’Afrique.

La multiplicité de ses usages (alimentaire, médicinal…) en fait l’une des espèces les plus précieuses du Sahel.

Il est présent dans la plupart des régions subhumides à semi-arides au sud du Sahara et tient une place prépondérante dans les cultures et les croyances autochtones.

Les feuilles contiennent un pourcentage élevé de calcium utile à l’alimentation et un abondant mucilage qui gonfle dans l’eau et permet une meilleure digestion.

On l’ajoute au couscous de mil au Mali et au Burkina-Faso.

Un fossile vivant : le Ginkgo biloba

C’est la plus vieille espèce d’arbre que l’on trouve sur Terre.

Le Ginkgo biloba, « l’arbre aux 40 écus », qualifié de fossile vivant est un vestige de la végétation qui a nourri les dinosaures.

On considère cet arbre comme étant l’intermédiaire entre les fougères et les conifères. L’espèce, auparavant très répandue sur la terre, au climat tempéré humide, est vieille de 270 millions d’années.

Son berceau est très localisé, il se situe en Chine.

Considéré comme vénérable par les bouddhistes, et producteur de fruits consommables, il a été cultivé en Asie, puis dans le monde entier.

Ses délicates feuilles donnent l’impression que l’arbre est en fleur (alors qu’il n’en produit pas).

Certains spécimens peuvent ainsi vivre très vieux, peut-être plus de 3 000 ans !

Selon les chercheurs, ces vieux arbres privilégient leur « système immunitaire » à leur croissance, ce qui expliquerait pourquoi ils vivent si longtemps.

Aujourd’hui, avec le recul et un an de crise : ne peut-on pas voir dans le fonctionnement de cet arbre, un adage plein de sagesse ?

Privilégiez l’immunité plutôt que le profit…

Cet arbre est très utilisé en phytothérapie depuis des millénaires dans la médecine traditionnelle chinoise.

Il est cultivé surtout pour ses feuilles dont les indications thérapeutiques sont nombreuses.

Cela permet d’adresser des pathologies comme la perte de l’audition, vertiges, baisse de la vision, dégénérescence maculaire, bourdonnements d’oreilles (acouphènes), maux de tête, troubles de l’érection, jambes lourdes ou fatiguées, troubles menstruels, etc.

Au niveau du cerveau, son efficacité n’est plus à démontrer.

Il améliore la vigilance des personnes âgées, les troubles fonctionnels comme les vertiges et les maux de tête, mais surtout les symptômes de la démence sénile et de la maladie d’Alzheimer à son début.

Enfin, il est un excellent antioxydant, une autre manière de protéger notre cerveau de l’agression des radicaux libres.

Le Séquoia géant, bourgeon “anti-âge”

Comme son nom l’indique, cet arbre est un géant de 100 à 120 mètres de haut, capable de vivre plusieurs milliers d’années.

Son action principale et remarquable se situe au niveau du système nerveux et glandulaire.

Considéré comme un anti-sénescent masculin, c’est un tonique sexuel car il rééquilibre la spermatogenèse, il stimule l’immunité et freine le vieillissement tant au niveau sexuel que général.

Par sa mobilisation endocrinienne, il exerce un effet tonique au niveau intellectuel (cerveau âgé) et présente une action eutrophique générale.

Son action est lente mais profonde.

Associé à Quercus pedonculata (le chêne), il protège le cerveau âgé des effets du temps.

Le Chêne vous veut du bien

Arbre sacré dans plusieurs civilisations (celte, romaine, germanique), le chêne est aux arbres ce que le lion est aux animaux.

C’est le roi de la forêt, symbole de force et de dureté.

Le chêne a une durée de vie exceptionnelle, on dit qu’il y a des chênes vieux de 2 000 ans.

L’impact bénéfique des « bains de forêt »

Et bien avant d’envisager que tel ou tel arbre ou extrait d’arbre pourrait pallier vos problèmes de santé, se promener en leur présence procure est une vraie cure de jouvence, dont on devrait abuser en ce moment.

En prenant le temps de se promener en forêt, on fait d’abord baisser son taux de cortisol, l’hormone du stress.

Vecteurs de calme et d’équilibre, l’ambiance campagne et les arbres agissent directement sur le moral, mais également sur l’organisme grâce aux phytocides, des molécules qu’on absorbe par la peau et les voies respiratoires.

Une immersion dans la forêt offre des effets bénéfiques sur les défenses immunitaires en augmentant le taux de lymphocytes NK.

Une méta-analyse condensant 143 études menées auprès de 290 millions de personnes a montré qu’être exposé aux espaces verts permet de réduire l’hypertension, les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2.

Avant de vous quitter…

Je suis obligé de vous faire un point « actualité covid ».

Les épidémiologies l’avaient prédit : c’est en mars que les variants anglais et sud-africain, arrivés en France à la fin de l’année 2020, devaient impacter fortement à la hausse les courbes de contamination.

Dans plusieurs grandes régions, dont l’Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur, les prémices de l’accélération sont déjà perceptibles.

Dans d’autres comme le Dunkerquois ou les Alpes-Maritimes, le mal est fait.

Même si l’incertitude générale reste de mise au sommet du pouvoir. « On n’est pas encore capable de savoir si on est en train d’assister à un nouveau rebond de l’épidémie ou juste un sursaut qu’on peut tenter de maîtriser des mesures très localisées », confie-t-on au ministère de la Santé.

Tandis qu’on redoute déjà les effets des variants dans les semaines à venir.

Comme D. Trump ?

De quoi envisager, et c’est une nouveauté, une ouverture du calendrier vaccinal pour les plus de 65 ans début avril.

En attendant, Emmanuel Macron compte s’appuyer sur une autre arme : le développement des anticorps monoclonaux qui devraient ar­river mi-mars pour les per­sonnes les plus touchées par un système immunitaire affecté.

Ainsi, aujourd’hui on parie sur les anticorps monoclonaux qui ont permis de guérir le président Trump.

L’exécutif mise sur ce traitement très onéreux pour limiter le risque de formes sévères.

Après l’Allemagne qui a déjà acheté 200 000 doses fin jan­vier, c’est désormais au tour de la France de miser sur cette « nouveauté thérapeutique », porteuse d’espoir, comme l’a nommée, Olivier Véran, le ministre de la Santé.

83 hôpitaux ont d’ores et déjà reçu « des milliers » de doses de ce mé­dicament à 2000 € l’unité, ré­servés aux 80 ans et plus et aux personnes souffrant de troubles de l’immunité, afin de prévenir les formes graves de la Covid-19.

Cette thérapie est déjà bien connue et une centaine d’anticorps monoclo­naux sont déjà sur le marché, utilisés dans de nombreux cancers, des maladies inflam­matoires, certains sont déjà approuvés contre la migraine ou le cholestérol.

Concernant le Covid, le bamlanivimab – autrement dit ce fameux anticorps – est-il efficace contre les variants ?

C’est là tout l’enjeu. « Sur le mutant britannique, oui mais, a priori, pas sur les sud-africain et brésilien », nous dit-on.

Ce n’est pas le même son de cloche du côté de Frédéric Adnet, le patron des urgences de l’hôpital Avi­cenne de Bobigny (Seine- Saint-Denis) et chercheur à l’Inserm, qui se montre beau­coup plus réservé.

Les résul­tats de deux études sur la di­minution de la charge virale se sont révélés décevants.

La souche initiale : déjà du passé ?

Selon les projections du professeur Amouyel de Lille, si la courbe poursuit son ascension, au 20 mars, la France pour­rait enregistrer quotidiennement plus de 50 000 nou­veaux cas, seuil de déclenchement du deuxième confinement.

« Même à 20 000 contaminations par jour, c’était beaucoup en chiffre absolu sachant qu’à la mi-décembre l’objectif était de retomber à 5000 cas, rap­pelle Philippe Amouyel. Ce laps de temps permet au virus de se multiplier et d’offrir plus de chances de générer des variants. »

A cette même date, les variants auront d’ailleurs quasiment rem­placé la souche historique.

« L’Europe centrale est en train de connaître le démar­rage d’une troisième vague, caractérisée par des taux de reproduction (NDLR : le nombre de personnes qu’un cas infecté contamine) supé­rieurs à 1,15, parfois 1,2, de­puis plusieurs semaines. La mortalité associée y est éle­vée, parfois à un niveau alar­mant comme en République tchèque », commente l’épi­démiologiste Antoine Fla­hault.

Les 75 jours de couvre-feu n’auront donc servi à rien sinon à aggraver la contamination ?

Si, mais ces mesures sont insuffisantes face à la percée des variants.

La progression des variants modifie la stratégie depuis leur survenue.

Le criblage sur la très grande majorité des tests PCR positifs permet d’avoir une analyse très fine de leur répartition sur le territoire.

La présence des quatre variants déjà identifiés fait qu’on doit atteindre un niveau d’immunité collective plus élevé, à 80 %. Aujourd’hui, entre 15 et 20 % de la population française est immunisée et 10 % est vaccinée.

Nous sommes donc dans une période cri­tique de course contre la montre.

Mieux vivre avec le virus

« Tout dépend de notre capacité à accroître notre protection par nos comportements collectifs, puis de la progression de la vaccination et des traitements innovants. Dans l’im­médiat, la progression des variants, plus rapide que celle de la souche classique, exige une vigilance accrue et renforce la nécessité d’accompa­gner les Français sur l’évolution de la situation dans les prochains mois. Le virus va continuer à circuler. Il faut donc mieux vivre avec lui et libérer petit à petit des activités indispen­sables au bien-être en société. On aura un desserrement progressif des contraintes à mesure que la circula­tion se réduira. Mais il faut aussi res­ter humble, le virus nous a démontré sa capacité à nous surprendre, tandis que l’on redoute le confinement ». Ainsi parle un membre du conseil scientifique. De belle paroles rassurantes !

Le confinement casse l’épidémie quand elle devient hors de contrôle. C’est la raison pour laquelle nos voisins européens y ont eu recours depuis mi-décembre.

C’est l’arme absolue quand la courbe explose, mais c’est une arme très lourde et on comprend bien pourquoi le gouver­nement ne souhaite pas y recourir avant que toutes les flèches n’aient été utilisées.

Le confinement le week-end pourra-t-il endiguer leur diffusion ?

Il n’existe pas de données sur cette mesure testée pour la première fois mais, selon Pascal Crépey, ce n’est pas l’option qui lui paraît la plus pertinente dans la mesure où les infections surviennent principalement lors des moments d’activité, sur le lieu de travail ou à l’école et, de fait, en semaine.

En attendant et dès lors que Big Pharma et notre clique médicale refusent obsessionnellement les médecines alternatives qui ont fait leur preuve, je conseille le port du masque qui représente la barrière absolue pour bloquer ce diabolique virus et le recours au vaccin, dont j’ai énuméré les qualités et les limites.

Aujourd’hui je conseille le vaccin Johnson-Johnson américain, efficace à 92% et qui ne nécessite qu’une injection.

Considérant cet atermoiement et ce « vire-voltage » on peut se poser des questions ou plutôt leur en poser.

Pourquoi ne recourt-on pas aux autotests ? au passeport vaccinal ? au séquençage ? aux traitements alternatifs qui ont fait leurs preuves ?

Des lois existent pour protéger les prescripteurs courageux qui ont obtenu des résultats exceptionnels mais occultés…

…D’ici à ce qu’on y réponde, je vous conseille de prendre un bon bain de forêt, appelés Shinrin-yoku au Japon, pays qui a vu naitre ce concept thérapeutique plus que naturel.

Bon bol d’arbre !

Jean-Pierre Willem

39 commentaires pour “Un exemple millénaire à suivre ! 

  1. Pourquoi ai-je l impression que votre discours change…. Masque, vaccins, confinement, je suis très septique après avoir lu votre mail. J ai l impression q il va à l encontre de ce que j’ai lu jusqu à présent.

  2. Cher Monsieur,
    Je lis habituellement vos lettres avec beaucoup d’intérêt tant elles sont pertinentes, mais je suis aujourd’hui profondément déçue que vous fassiez la publicité à la fois du masque dont d’éminents professeurs de médecine disent qu’il ne sert à rien et est même dangereux, du confinement dont l’etude du numéro un mondial prouve que non seulement il ne sert à rien pour endiguer les épidémies mais qu’en plus ils ont des conséquences catastrophiques, des vaccins qui ne sont rien d’autre en l’état que des expériences sur l’humanité entière et le passeport vaccinal qui anéanti le secret médical et va à l’encontre des lois de Nuremberg !
    Au passage vous occultezbtous les traitements qui soignent y compris le préventif : vitamine D, zinc…
    Ce virus est effectivement dangereux car il fait visiblement perdre le bon sens à un grand nombre de personnes et surtout il privé de liberté les citoyens du monde entier !
    Je vous conseille de consulter les sites internet reinfocovid.fr ou bonsens.org
    Bien cordialement.

  3. Le masque, barrière absolue contre la contamination ?
    Je suis sidéré par ce commentaire du Dr willem que je respecte beaucoup.
    Une célèbre étude danoise indique l’inefficacité du masque pour les bien portants.
    En revanche, les gens atteints par la covid (ceux qui ont des symptômes donc une
    charge virale notable) doivent le porter pour éviter de contaminer autrui.
    Les médecins ne s’accordent pas entre eux, cela constitue un problème majeur
    exacerbé par la corruption structurelle de Big Pharma.

  4. Bonjour Mr Willem
    Merci pour tous vos précieux conseils. J’aimerais avoir votre avis sur ce qui suit.
    Mon mari et moi avons 77 et 76 ans, après un parcours du combattant nous avons réussi à nous inscrire pour la vaccination et ce sera l’Astra Zeneca. Mon mari a fait un AVC en octobre 2020 et vient d’être opéré en février de polypes dans la vessie, il a du diabète, du cholestérol et de l’hypertension. Q’en pensez-vous ? On entend tout et son contraire votre avis nous sera très utile. Un grand merci pour votre générosité.

  5. J adore les arbres et les respecte depuis toujours et il m est insupportable de savoir qu on déboiser même l Amazonie j habite a l exterieur du village et on y a coupé des dizaines d arbres et j en ai perdu 3 dont 2 a cause de ma pouliche l autre des trop grands froids qu on a eu ici en Belgique comme un peu partout et ici on oblige la vaccination mais ne nous donnons pas de choix ! J ai donc peur ! Moi imunodeprimee j attrape le virus de la grippe dès qu on me le fait j ai donc refusé cette année ! Alitée je ne vois que peu de gens et je voudrais pouvoir empêcher de déboiser et qu il y ai ce vaccin cité ci-dessus mais les infirmières et médecins n en font qu a leur tête ! Je voudrais partager a mes contacts mais il n y a que sur whatsapp que c est possible ! Merci de me confirmer l importance des arbres il y en a derrière la prairie a 200 mètres sinon lilas et bureaux ici près de moi ! Respect pour vos messages et vos connaissances par les soins naturels j ai bientôt 47 ans et ma mère aura 77 ans en septembre ! Si elle vit jusque là ! J espere que hormis ma fille qui a plusieurs amies en contact rapproché ne nous amènera rien ! Bonne journée de Belgique BIZZ

  6. Sans parler de Covid , je recommande à tous d’acheter des citrons bios et de les congeler : un excellent antibiotique (qui m’a sauvée) et un anti cancer (débutant) mais pas pour guérir des cancers plus avancés .Mon chien a un mélanome , tumeur maligne dans l’oeil , on lui a enlevé l’oeil , et j’essaie de le sauver ??? avec le citron bio , rappé mis dans son pâté.

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