Poignets douloureux : ne laissez pas ça « traîner »


Aujourd’hui je vais vous informer d’un problème qui entraine 364 interventions chirurgicales par jour en France.

Il s’agit du syndrome du canal carpien.

Le canal carpien correspond à la partie centrale du poignet.

Un nerf très important traverse cette partie du bras : c’est le nerf médian, qui part de l’épaule jusqu’au bout des doigts et permet notamment la flexion du pouce et de l’index.

Lorsque la pression du nerf médian au sein du canal carpien est anormalement élevée, on parle du syndrome du canal carpien.

Cela entraine des douleurs très vives de la main et du bras, un engourdissement et des fourmillements des doigts…

Actuellement, il y a 3 femmes atteintes pour 1 seul homme.

Mais il est parfaitement possible de prévenir ce syndrome.

Faites-vous cela en jardinant ? (et d’autres gestes à éviter)

Certains types d’effort sont plus risqués que d’autres car ils sollicitent la pression du nerf :

  • Les efforts répétés sur les poignets comme lorsque nous utilisons un sécateur pour tailler les rosiers d’un jardin ;

  • Les vibrations qui sollicitent en permanence les nerfs du poignet. Le plus frappant est l’usage du marteau-piqueur… Mais si vous faites du bricolage, méfiez-vous des perceuses ou d’autres outils de ce genre qui doivent aussi être maniés avec parcimonie.

Les maladies comme l’arthrite du poignet, le diabète, l’hypothyroïdie sont également des facteurs favorisants.

Cependant, vous pouvez anticiper ce syndrome en identifiant les premiers symptômes.

  • Fourmillements et engourdissements des mains ;

  • Douleurs à l’effort puis qui persistent même la nuit ;

  • Difficultés à tenir des objets avec les mains et les doigts.

Sachez aussi que le syndrome du canal carpien peut survenir entre 6 à 10 fois chez les personnes souffrant d’hypothyroïdie.

Donc si vous faîtes de l’hypothyroïdie, c’est une raison de plus de veiller à ce que vos taux de TSH soient bien supérieurs à 4 mUI/L.

Afin de réguler votre situation, vous pouvez prendre le complément alimentaire Thyregul des laboratoires Phyt’Inov (2 gélules par jour). Ce complément alimentaire agira en profondeur sur votre système thyroïdien pour favoriser la sécrétion d’hormones thyroïdiennes.

Surtout, qu’on ne vous sectionne pas le ligament !

Parmi les traitements classiques, la plupart des médecins vous proposeront des infiltrations et des prescriptions à base de corticoïdes, c’est-à-dire des anti-inflammatoires et des antalgiques.

Et si cela ne fonctionne pas, vous aurez droit à une opération chirurgicale qui s’effectue la plupart du temps sous anesthésie locale, c’est-à-dire que seul le bras concerné est endormi. Le but de cette intervention chirurgicale est de vous sectionner le ligament qui comprime votre nerf médian…

Pourtant la majorité des opérations chirurgicales sont complètement inutiles.

Quand la douleur irradie au-dessus du poignet vers l’avant-bras ou le bras, la compression du nerf médian n’est pas au niveau du canal carpien mais déjà au niveau des cervicales….

C’est pourquoi les opérations sont inutiles lorsqu’elles sont réalisées sur le poignet.

Au contraire, il faudrait plutôt avoir recours à l’ostéopathie pour débloquer le nerf médian grâce à des manipulations des cervicales. Cependant, il faut vérifier au préalable par un scanner que le nerf médian ne soit pas coincé par un resserrement des trous de conjugaison entre les vertèbres (arthrose et ostéophytes).

Dans ces situations, l’acupuncture est une excellente technique pour enlever soit l’inflammation au niveau cervical, soit l’in­flammation au niveau du canal carpien.

Mais avant d’en arriver là, il existe des remèdes naturels pour calmer la pression.

Les remèdes qui « calment » (et ma recette personnelle à l’arnica)

Avant de parler de l’homéopathie, j’aimerais vous présenter 2 compléments qui ont prouvé leur efficacité :

• Topagil® : ce complément alimentaire agit naturellement comme un antalgique. Sa combinaison de principes actifs permettra un effet anti-inflammatoire considérable. Vous pouvez en prendre dès que vous ayez des douleurs modérées ou même intenses – à raison de 2 fois 2 gélules par jour.

• Onguent apaisant®. Il s’agit d’un cocktail d’huiles essentielles spécifiquement sélectionnées pour soulager toute douleur ligamentaire. Vous pouvez vous masser directement le poignet avec cette solution plusieurs fois par jours pour un bénéfice presque immédiat.

Mais mon traitement de base, c’est cette recette aux huiles essentielles que j’ai confectionnée spécialement contre ce syndrome.  

Il combine des huiles essentielles qui agissent sur la pression interne du nerf médian de façon spectaculaire, pour vous soulager, diminuer la pression et la douleur.

Dans un flacon de 15 millilitres, combinez :  

• 1 ml HE Betula Alleghaniensis (bouleau jaune),
• 1 ml HE Gaultheria Procumbens,        
• 5 ml HE Juniperus Communis Ssp Communis,           
• 2 ml HE Rosmarinus CT Camphora,                            
• 3 ml HE Eucalyptus Dives,                                            
• 3 ml HV millepertuis (arnica).        

Vous pouvez appliquer directement cette solution sur la peau en massant délicatement votre poignet.

Ensuite, je vous conseille de prêter attention à vos symptômes pour trouver le remède homéopathique qui vous convient.

Ressentez-vous plutôt un engourdissement… ou des douleurs névralgiques ?

En fonction de vos ressentis et de vos douleurs, vous pouvez prendre les dilutions suivantes : 

  • Gnaphallium polycephalum 7 CH : engourdissements alternant avec des douleurs des mains, faiblesse dans les mains, aggra­vation la nuit ;

  • Kalmia latifolia 7 CH : douleurs névralgiques fulgurantes allant du centre vers la périphérie (de l’avant-bras vers les doigts), avec engourdissements ;

  • Ruta graveolens 7 CH : remède des tendons (ici enflammés), meurtrissure, avec besoin de bouger au lit, améliorée par le mouvement, aggravée par le froid, le toucher, et au lit.

Vous pouvez prendre à hauteur de 5 granules de chaque, 2 fois par jour pendant plusieurs mois sans crainte. Si vous avez des crises plus violentes, vous pouvez monter jusqu’à 6 fois par jour au lieu de 2.

Et enfin, je vous recommande fortement la gymnastique du cou et le repos des poignets pour favoriser votre rétablissement et supprimer le syndrome du canal carpien le plus rapidement possible.

En vous souhaitant une excellente santé et à la semaine prochaine pour une prochaine lettre !

Bien à vous,

Jean-Pierre Willem

49 commentaires pour “Poignets douloureux : ne laissez pas ça « traîner »

  1. Par experience personnelle je confirme les bienfaits de l huile essentielle de gaultherie qui a elle seule a fait disparaitre des kystes au niveau du poignet et articulation du pouce .. massages reguliers .. plus rien au bout de 3 jours .. miraculeux ..alors qu on me prposait une intervention a la linique de la main a marseille ?

  2. Bonjour monsieur Willem
    Je fais appel à vos connaissances, j ai mon fils de 9 ans qui contracté un purpura rhumatoïde. Avez vous connaissance de cette maladie ?
    nous cherchons des solutions pour qu il guérisse mais nous n avons peu de réponse.
    Cordialement
    Cédric Bouhallier

  3. merci du conseil , ce me conforte dans mes idées qu’il faut essayer méthode naturelle avant de se faire opérer – acupuncture aide très bien pour les problèmes d’engourdissement dans les doigts – par contre je ne savais pas pour l’hypothyroidie

  4. Bonjour Professeur Willem ******

    vous méritez aisément ce titre de Professeur ,
    pourquoi tous les chirurgiens pour le canal
    carpien n’étudient-ils pas en profondeur ce
    sujet comme vous le faites ???? l’argent est à
    la clef !!!!!!
    Mille merci pour votre travail exceptionnel et
    vos découvertes , c’est creusé , expérimenté
    et des plus sérieux ! chapeau bas cher Professeur William , je vous suis avec la plus
    grande attention et sans vous pour ce canal
    carpien et une ancienne névralgie cervico
    brachiale qui m’avait cloué au lit 4 mois et demi
    je ne savais pas qu’il n’y a pas besoin d’opérer ,
    c’est en effet l’homéopathie (sulfure 15 ch je crois ) qui m’a enlevé la dernière brulure
    entre les omoplates …… soyez béni Monsieur .
    M.G . reconnaissant .(67 ans )

  5. Bonsoir Dr WILLEM,
    MERCI pour votre article sur ce sujet qui me préoccupe, du fait que j’en souffre depuis plusieurs années. Je ne souhaite subir quelconque intervention chirurgicale. Je suis en protocole avec un chiropracteur pour corriger ma posture. Le fait qu’il travaille essentiellement au niveau des cervicales me conforte dans la gestion de ce dysfonctionnement. Néanmoins, j’en suis à six mois à raison de deux séances par mois, j’avoue une certaine impatience quant aux résultats. Il y a eu de l’amélioration pour revenir à une situation pratiquement identique à celle du début de programme. Je reste dans le questionnement.
    Pouvez-vous me confirmer votre programme naturel pour réduire, voire faire disparaître ces fourmillements dans les trois doigts de chaque main.
    Votre prompt retour me conviendra.
    Bien cordialement.
    Daniel MARTIN

  6. Merci pour ces informations toujours très intéressantes.
    Que proposez-vous contre la maldie de Dupuytren.
    Cordialement.
    Yves Bonenfnant

  7. Jean-Pierre WILLEM –FLMNE
    9 rue du Général Beuret 75015 PARIS

    Monsieur Willem, bonjour,

    Suite à votre lettre : « Poignets douloureux : ne laissez pas ça traîner » :
    Je suis très heureux que vous y abordiez un sujet qui est rarement considéré dans la littérature des sites médicaux (SNI,…) et qui concerne apparemment pas mal de monde : Le syndrôme du canal carpien. J’aimerai, si vous le permettez, vous faire part de mon histoire.
    En 1981, alors que ma maison venait d’être construite, j’ai entamé, seul, le creusement de 2 tranchées de 10 m de long sur 0.80 à 1.20 m de profondeur pour y loger les diverses alimentations énergétiques du bâtiment. Cela fut fait à l’aide d’un marteau piqueur loué le vendredi soir et que je devais rentrer le lundi matin. C’est dire que cela n’a pas chômé ce week-end là ! Mes mains d’employé administratif n’étaient pas habituées à ce régime et, malgré les gants, je les ai retrouvées toutes rouges le lundi matin, gonflées, engourdies et avec des picotements et fourmillements et des sensations très peu agréables en permanence (chaleur, nerfs à fleur de peau). Diagnostic du médecin : syndrôme du canal carpien !
    Ces douleurs notoires, surtout la nuit, ont persisté un bon moment (plusieurs mois) pour finir par s’estomper progressivement après un an ou deux. Mais lorsque je re-sollicitais mes mains brutalement, même pour la bonne cause, les inconvénients se manifestaient à nouveau pendant plusieurs jours. Insensiblement, il s’installait même une perte de sensibilité progressive du bout des doigts (pouces, index, majeurs). Le médecin réitérait son diagnostic, proposant l’opération en craignant l’aggravation de l’insensibilité digitale. J’étais, paraît-il sujet à beaucoup d’arthrose dont pâtissaient déjà mes lombaires L4-L5 et selon lui cela pouvait créer un rétrécissement du canal carpien susceptible d’irriter le nerf à cet endroit.
    Comme à ce moment je souffrais surtout en fin de nuit et que le reste du temps j’étais relativement tranquille, je comprenais mal ce raisonnement d’une arthrose occlusionnelle à temps partiel, surtout active lorsque le poignet n’était pas sollicité (la nuit) et de plus, changeante comme si des déformations osseuses ou des excroissances pouvaient pousser la nuit et se retirer le jour ou fluctuer à chaque instant de la journée. Je refusais donc l’opération. J’avais des périodes plus tranquilles, d’autres plus gênantes mais moins fortes que la première fois. La perte de sensibilité digitale semblait se stabiliser. Et du temps a passé ainsi.
    Trente ans plus tard, je souffrais toujours d’un diabète de type 2 qu’on avait mis 20 ans à essayer de neutraliser à l’aide de « Glucophage », mais sans pouvoir arrêter l’augmentation des paramètres mesurés. M’étant informé sur le sujet, je décidais de le remplacer par la Berbérine, ce qui a notablement amélioré les chiffres déjà dès les trois premiers mois de prise. L’amélioration continue, seule la résistance à l’insuline a du mal à baisser. Il faut dire que j’ai une forte tendance à la sédentarité, ce qui explique probablement la chose. Ce succès relatif m’a incité à me tourner plus franchement vers une alimentation plus naturelle (bio tant que possible et jardin) avec un suivi occasionnel par un naturopathe accompagné de quelques compléments alimentaires. Et après quelques mois, j’ai pu constater que mes mains, insensibilisation digitale stationnaire mise à part, étaient redevenues ‘comme avant’. C’est-à-dire que je n’avais plus ces sensations de « nerfs à fleur de peau » très douloureuses en forçant des mains. Je pouvais ouvrir les bouteilles au capuchon rebelle, plus d’engourdissements, fourmillements etc… Et j’ai compris là, l’importance de l’inflammation sur les nerfs.
    Mes déductions sont maintenant les suivantes : ce n’est pas une quelconque arthrose qui rétrécit mon canal carpien (la nuit surtout ! ) ne laissant plus de place dans le poignet pour le nerf qui dès lors s’enflamme, mais ce serait plutôt le nerf (et pourquoi pas tous les nerfs ?) qui s’enflamme suite à une alimentation inadéquate et dès lors, en grossissant, il ne trouve plus sa place dans le passage du canal carpien dès qu’une sollicitation supplémentaire apparaît. Tout mouvement ou effort supplémentaire aggrave évidemment cette situation. Dans le cas du bras, comme je dors en chien de fusil, le corps écrase un bras qui me fait mal au bout d’un temps, suite à quoi je me retourne, ce qui le soulage et atténue la douleur qui bientôt réapparait dans l’autre bras et ainsi de suite. Mais je pense que l’inflammation peut parfois se suffire à elle-même.
    Les aléas de la vie font que j’ai quitté dernièrement la France et donc la cuisinière que j’y avais trouvée. Etant nul en cuisine pratique, j’ai dû improviser, du moins pour quelques temps, et me dépanner avec les plats cuisinés des grandes surfaces. Je les ai trouvés souvent trop salés, mais ce ne doit pas être leur moindre défaut. Après deux jours (nuits plutôt), j’ai retrouvé mes problèmes de mains bien connus avec une recrudescence de l’insensibilité digitale accompagnés de vieux démons qui m’avaient quitté à mon départ en France, à savoir une tendance aux crampes dans les jambes et des ‘crispations’ (je les appelle ainsi pour les distinguer : la crampe apparaît progressivement dans le muscle tandis que la crispation saisit le muscle entier d’un seul coup et le contracte violemment, souvent en se propageant aux muscles voisins dans toutes les combinaisons possibles – mollets, cuisses, bras, mains d’un ou deux côtés du corps ainsi que toute la musculature dorsale et lombaire). Cette symphonie musculaire qui dure brutalement pendant quelques secondes est particulièrement éprouvante, vous bloquant dans des positions incroyables jusqu’à relaxation. J’ai même constaté plus nettement cette sensibilité du nerf dans l’avant-bras et dans le bras presqu’insensible naguère (au point que je me demandais si elle était vraiment réelle et que je n’en parlais pas) mais qui maintenant me crée par moments de réels problèmes en m’empêchant de dormir. On dirait vraiment que le nerf chauffe sur une portion plus ou moins longue. Et cette sensation ne s’en va pas facilement.
    Pour tout dire, je dois aussi mentionner que suite à une chute subie vers l’an 2000, j’ai dû .être opéré, en 2011, des vertèbres cervicales. En plus d’un canal cervical étroit, j’avais trois pincements de la moelle sur la hauteur de la nuque. On a enlevé l’arrière des vertèbres pour lui laisser un peu plus de place. Je ne pense pas que cela ait influencé mes problèmes de bras et de mains puisque l’opération était faite et sans problème lorsque mes sensations manuelles se sont normalisées. Rien ne me permet de relier les deux faits.
    Depuis que je me suis rendu compte de l’implication des plats cuisinés, j’essaie de les limiter ou de varier les repas et je ressens déjà une amélioration dans mes douleurs nocturnes. Cela me conforte donc bien dans l’idée que (du moins pour moi,) l’inflammation précède les frottements et compressions du nerf, tout simplement je présume, parce qu’elle le fait gonfler.
    Je suppose également que si le nerf médian s’enflamme suite au mauvais régime alimentaire, il n’y a pas de raison que d’autres nerf ne subissent pas le même sort en même temps. Je considère donc que lorsqu’un patient se sent mieux après que le chirurgien ait agrandi le canal carpien, c’est comme si, lorsqu’il fait trop chaud, on avait cassé le thermomètre. Le fait de ne plus ressentir dans les mains les effets de l’inflammation ne la supprimera pas et on continuera à s’enflammer sans plus y prêter attention.
    Lorsque je parlais au chirurgien de mes crispations, il m’a dit ne pas connaître ce phénomène car « ce n’était pas dans ses livres ! «. En tout cas, moi je le sens bien dans mes muscles et j’ai été tout surpris de le retrouver dans des circonstances si nettes. En tout cas, cela m’a aidé à mieux comprendre la réalité des choses. Au début, je ne reliais pas mon soi-disant « canal carpien » et ces crispations, mais à présent, je crois que c’est bien clair. Dans les deux cas, une seule cause : la mauvaise alimentation par les plats préparés. J’ajoute que j’ai aussi une tendance importante à consommer des sucreries. Bien que j’essaie de m’en défaire, je n’y suis pas encore arrivé totalement.
    J’ignore ce que vous pourrez penser de mes déductions (je ne suis pas médecin), mais en tout cas, il faudra peut-être compléter les livres pour qu’ils s’adaptent aux réalités des patients. J’espère que ces quelques réflexions pourront faire avancer la bonne cause, celle des hommes de bonne volonté. C’est dans cet esprit que j’ai écrit ces lignes. Je reste à votre disposition si cela peut vous être utile.
    En vous remerciant, monsieur Willem, pour l’important travail que vous fournissez pour vos lecteurs dont je suis.
    simgast@hotmail.com

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