De l’espoir, au bout du chemin ?

Chère lectrice, cher lecteur, 

La France va mal.

Les Français et les Françaises vont mal, le confinement leur pèse.

Leur liberté leur manque.

Le travail pour certain n’est plus garanti et, avec sa disparition ou diminution, les fins de mois difficiles se font déjà pressentir.

L’anxiété ambiante n’arrange rien au tableau…

Mais je vous rassure : les gros labos pharmaceutiques eux, sont au sommet de leur forme !

Si l’économie va mal, les lendemains qui chantent sont presque garantis pour eux.

Il ne s’agit pas de banqueroute.

Le pactole de tous ces gros labos est toujours en place et sera encore plus copieux lors de la sortie des vaccins.

Aujourd’hui ils n’ont rien à vendre ?

Qu’importe !

Demain, c’est sûr, ils auront bien un vaccin à soumettre.

Pendant ce temps, leurs molécules chimiques restent stockées, faute d’efficacité, sans oublier les effets secondaires de ces produits chimiques, ce que l’on appelle la iatrogénèse.

On peut prendre connaissance de ces molécules chimiques dans le Vidal, la bible des médecins.

Pour chaque remède une page est réservée à la description du produit et de ses indications, tandis que 2 à 3 pages sont réservées à l’énoncé des effets délétères.

Pourquoi un tel aveu péjoratif sur leurs produits ?

Tout simplement pour se couvrir sur le plan judiciaire.

Nous vivons une période d’incertitude avec une sorte d’emballement.

Certains chiffres s’envolent, d’autres progressent, avec certaines données et variables qui posent question.

Dans quel monde vivons-nous ? Sommes-nous encore dans le réel ? Que nous cache-t-on ?


Les chiffres : l’arbre qui cache la forêt ?

Beaucoup de médecins, de responsables politiques et de citoyens ont le souvenir des mois de mars et d’avril rivé à l’esprit et nous annoncent un scénario du pire qui serait un rebelote de ces mois tragiques.

Avec l’annonce de plus de 50.000 patients atteints en un jour, la France devient championne du monde de gens conditionnés.

Chaque jour, on comptabilise les clusters qui atteignent 100 cas par jour.

Qu’attend-t-on pour pénaliser les responsables de ces foyers d’infection dès lors qu’il y a mort à la clef ?

Sans oublier les entreprises dans lesquelles on recense le plus de clusters.

Il va de même pour les jeunes et les étudiants dans leurs universités qui refusent délibérément de se masquer.

Ils contribuent en partie au génocide des vieux.

A moins que tout ce scénario de protection improvisé ne soit qu’un cache misère, voire une mise en scène machiavélique.

Et nous, pauvres êtres humains désemparés, on relève les chiffres : on approche chaque jour 50.000 contaminés ; 36.000 humains sont partis « ad patres » en laissant des familles éplorées, qu’on aurait pu sauver.

La contagiosité s’est amplifiée.

L’immunité collective n’est pas au rendez-vous : à peine 10%.

Les vaccins se font attendre.

On ne disposera des véritables vaccins pas avant 12 mois.

Pendant ce temps-là, le virus aura muté, il restera à solder ces vaccins inachevés aux pays du tiers monde !

Roselyne Bachelot peut s’en charger.


Hôpitaux exsangues + hiver = ?

Qui a dit que notre système de santé était l’un des meilleurs de la planète ?

La crise du Covid aura servi de révélateur.

Et pourtant, la bonne volonté est partout chez les médecins comme chez les infirmières ou les aides-soignants. Malgré la pénurie généralisée : masques, vaccins, médicaments, respirateurs, tout a manqué !

A force de tirer sur la corde, elle se casse.

Sympathique d’applaudir les soignants à 20 heures, mais le malaise est si profond que les premières mesures bienvenues n’empêchent pas les soignants de vouloir rendre leur blouse…

Ce qui est sûr, c’est qu’il ne s’agit pas d’une deuxième vague.

Si deuxième vague il y aurait dû y avoir, elle se serait produite au déconfinement de mai, quand aucune des mesures imposées depuis n’était en vigueur.

C’est une 2° vague artificielle due à une négligence face aux gestes barrière.

Et si la baisse des tempé­ratures accentuait l’augmen­tation du nombre des conta­minations au Covid-19 ?

Cette question, lancinante au printemps et à l’été, se pose de nouveau depuis le début de l’automne.

Plusieurs élé­ments semblent en effet cor­réler ces deux indicateurs.

Une chose est sûre : depuis le début du mois de septembre, l’évolution du nombre quotidien de nouveaux cas de Covid-19 semble inverse­ment proportionnelle à celle de la température, avec un décalage de sept jours (la durée moyenne entre la contamination et le passage au centre de dépistage).

A partir du 1er octobre, la courbe des nouveaux cas est ainsi très fortement repartie à la hausse.

Les virus respiratoires circulent plus en saison hivernale : rien de nouveau sous le soleil !

On constate, pour beau­coup de maladies respiratoi­res, un impact de la tempéra­ture sur les contaminations.

Une des premières explications possibles, la plus évidente, vient des comportements sociaux des gens.

Quand il fait plus froid, on a tendance à rester da­vantage dans les endroits confinés, moins aérés, et à fermer les fenêtres.

Or, c’est dans les lieux clos que le risque de contamination est le plus élevé.

Car l’arrivée de l’hiver marque aussi l’arrivée d’autres virus plus habituels, comme ceux de nombreux coronavirus de la grippe, de la bronchiolite ou de la gastroentérite.

Ainsi l’organisme se fragilise dès lors que le système Immunitaire s’affaiblit face à tous ces agresseurs pa­thogènes.


Ceux qui savent, charbonnent et ceux qui palabrent, ne savent RIEN !

L’ultracrépidarianisme, c’est l’art de lancer des concepts que l’on ne maîtrise pas et que l’on exprime avec une belle assurance.

Cette tendance à donner son avis sur tout, même quand on ne les maitrise pas, a envahi la sphère publique.

Autrefois, dans les bistrots, désormais devant les micros et sur les grands plateaux, on donne la parole à ceux qui n’ont aucune expertise.

Mais qu’importe, dès lors qu’ils s’expriment avec aplomb, culot, voire pas mal de suffisance.

Chaque jour sur l’ensemble des médias TV, on assiste à un tableau affligeant : je veux parler des différents experts qui se sont précipités, les virologues, les épidémiologistes, les infectiologues et autres « spécialistes à quatre sous » comme les affuble Roselyne Bachelot ex-ministre de la santé qui avait acheté 68 millions de vaccins à un prix double !

La médecine française était considérée comme un modèle sur le plan international.

Que d’inepties, de commentaires approximatifs, de promesses thérapeutiques, ces universitaires n’ont-ils pas proférer en toute bonne foi.

Quant à l’humilité qui s’imposait… il faudra attendre !


Les labos sur la touche ?

Seul le professeur Raoult a su tirer les marrons du feu, avec un seul produit : l’hexa-chloroquine.

C’est mieux que de parler de nivaquine qui pourrait soulever un doute quant à son efficacité.

Cet antipaludéen a fait le tour de la planète.

La grande subtilité était de la préconiser au départ de l’atteinte virale, quand le contexte clinique présente peu de symptômes.

Autrement dit : absorber cet unique produit ou ne rien prendre, c’est kif-kif !

Didier Raoult sait très bien que son argumentation ne peut convaincre ceux qui sont habitués à analyser et évaluer les études cliniques.

Mais ce n’est plus à eux qu’il s’adresse.

Lors de ses interventions publiques, il a plu­sieurs fois balayé les contradictions de ses détracteurs d’un revers de main, ou plus exactement d’une phrase assassine sur leur médiocrité, ou sur leurs liens avec les grandes firmes pharmaceutiques.

Il choisit désormais de communiquer directe­ment avec le grand public.

C’est pour lui que ses arguments sont construits.

Pourquoi s’acharne-t-on à critiquer son approche thérapeutique alors qu’elle semble avoir sauvé tant de vies ?

Il répète qu’il est une star de la microbiologie.

Qui accuserait Kylian Mbappé de ne pas savoir jouer au football ?

Ainsi, le génial professeur a joué un bon tour : on se précipite sur l’hexa-chloroquine la seule molécule disponible.

Ainsi, le professeur a bloqué les plus gros laboratoires qui sont restés sur les starting-blocks et n’ont pu vendre leurs vieilles molécules.


On parle ENFIN d’autres voies thérapeutiques !

Après 9 mois d’absence de thérapie efficace, certains médias commencent à faire appel à ces médecins rebelles qui ne veulent pas se soumettre aux diktats imposés par la médecine dominante.

J’ai eu l’honneur de voir figurer un reportage sur « ma pratique de l’aromathérapie face aux virus ».

Cela suppose un certain courage !

Je vous recommande cette excellente revue, intitulée Fémininbio qui aborde un ensemble de questions actuelles.

Par ailleurs elle prône les médecines naturelles et la nourriture bio.

On peut résumer l’esprit de cette revue par cette citation « C’est en m’éveillant intérieurement que je participe à un éveil collectif ».

La clé est entre toutes nos mains, unissons-les maintenant pour mieux voir se lever demain.

Rappelons que 45% des Français recourent aux médecines naturelles.

Les médecins de terrain, qui apportent une véritable solution thérapeutique, font le bonheur de 50% de Français orientés vers les médecines naturelles.

Service abonnement au bimestriel Fémininbio en version papier 19€ pour 6 numéros ou en version pdf pour 15€ par an.

33/35 rue de Chazelles (porche bleu chez IDIX) 75017 Paris. Tel : 01 71 42 16 22

Portez-vous bien.

Jean-Pierre Willem

36 commentaires pour “De l’espoir, au bout du chemin ?

  1. Merci pour vos réflexions pleines de bon sens et de vraie connaissance !

    En ces temps de doutes et de “stagnation”, cela fait du bien !

    Bonne continuation

    Edmée Croset

  2. En ce moment une pub (à la TV) pour la recherche sur le cancer annonce: ” Chaque jour, 400 personnes meurent du cancer en France”. Soit, plus de 10000 chaque mois . Les statistiques officielles ajoutent celles qui décèdent du tabagisme, des maladies cardio-vasculaires etc dont on ne parle plus!… Pourquoi, aucun des médecins (contestataires) qui ont la parole, n’en font jamais état? Ce qui ridiculiserait les chiffres plus ou moins ‘bisons” de la mortalité (concernant rappelons-le une population à risque à plus de 80%) dûe au Covid 19…

  3. Bonjour je crois bien que l’on nous ment ils ne savent pas eux même ils racontent m’importe quoi il nous harcèle avec cette pandémie c’est une honte d’entendre ces gens nous parler comme s’ils s’adressait à des enfants, ils nous voler notre liberté

  4. Bonjour Dr Willem, merci pour tant de lucidité.
    Ca fait du bien au moral d’un côté -on ne se sent pas seul, merci- mais ça rend aussi révolté de voir que la cupidité l’emporte encore et toujours sur l’intérêt du bien commun.
    Est-il normal qu’un fort pourcentage de Français soient sous le seuil de pauvreté ?
    Est-il normal que 50% des Français soient en surpoids ou obèses ?
    Est-il normal que des pauvres gens voient leur immeuble s’écrouler à Marseille alors qu’on va investir des milliards pour les JO de 2024 ?
    Etc.
    Cela fait deux siècles que le mythe du “progrès” laisse croire au bonheur de tous; on voit ce qu’il en est…
    Au lieu de milliards d’euros dépensés pour la recherche contre les maladies graves, ne serait-il pas mieux de prendre le problème dans un autre sens : tout faire pour les éviter, ce qui est tout à fait possible de manière naturelle comme le prouvent encore quelques populations (Okinawaïens, etc.) qui ne connaissent pas nos maladies dites “de civilisation”, ainsi que les citoyens qui ont bien compris que la voie à suivre n’est certainement pas celle de la fréquentation assidue des pourvoyeurs de burgers !
    Aussi, pour finir, que toutes les études scientifiques qui prouvent toutes le bien-fondé des comportements adéquates exigés par la physiologie du corps humain (“on ne met pas de gasoil dans un moteur à essence, et inversement !).
    Diffuser des programmes généralisés de “bonne vie” (alimentation, activité physique régulière, gestion du stress) aurait des conséquences énormes sur le bien-être individuel bien sûr, mais aussi engagerait des bouleversements considérables bénéfiques pour toute l’activité économique, culturelle, sociétale qui pourraient orienter notre regard sur un autre horizon que celui du “making money” !
    Je suis d’autant plus à l’aise pour parler comme ça, que ma situation matérielle est confortable…
    On a besoin de gens comme vous ! Portez-vous bien…

  5. Merci Docteur pour tous vos bons conseils que je suis depuis longtemps mais ou trouver des médecins généralistes qui appliquent vos principes? Y a t il une liste pour cette spécialité suivie mais controversée ?
    Si oui merci de l indiquer pour Paris

  6. Merci Jean-Pierre Willem d’alimenter cet espoir au bout du chemin comme une petite lumière qui nous accompagne.
    Ces périodes de confinement qui nous mettent en veille un certain temps permettront, je l’espère, cet éveil des consciences tant attendu et la disparition d’une science sans conscience.
    L’intelligence humaine n’est pas derrière les bureaux surchauffés des institutions mais bien sur le terrain des découvreurs qui connaissent et ont recours aux traditions.
    La nature nous a tout donné, pourquoi vouloir l’ignorer ou la mépriser.
    Les animaux savent se soigner de manière intuitive. Et nous qu’avons-nous fait de notre intuition, du savoir de nos ancêtres, de notre bon sens ?
    La mondialisation aurait-elle suspendu nos émotions, nos créations, nos réflexions ?
    Prendre sa vie en mains, c’est comme vous l’avez toujours fait, aller sur le terrain, étudier toujours et recouper de précieuses informations, c’est aller jusqu’au bout de son talent et transmettre humblement au plus grand nombre.
    Merci pour ce que vous faites et imaginons toutes ces mains qui vont se tendre pour faire une chaine autour de la planète, comme le grand chemin des humains puisant dans leurs racines.

  7. Bonjour Docteur
    Si je vous comprends bien vous écrivez que la Chloroquine c’est du pipi de chat et donc vous êtes sur le ligne de ceux qui accusent Le prof RAOULT de ” charlatanisme ”
    J’en tombe de ma chaise
    Moi je regarde vers l’Afrique sub saharienne depuis Février . Il semble que les hôpitaux ne sont pas et n’ont jamais débordés. C’est conforme à ce que m’a dit un Burkinabé : le virus ne se propagera pas car dès l’age de 5 ans nous sommes tous VACCINE à la Chloroquine . jusqu’a ce jour les faits lui donne raison et valident le protocole RAOULT
    Cdlt

  8. je ne comprends pas votre conclusion:

    Autrement dit : absorber cet unique produit ou ne rien prendre, c’est kif-kif !

    dans le passage suivant de votre lettre :

    Seul le professeur Raoult a su tirer les marrons du feu, avec un seul produit : l’hexa-chloroquine.

    C’est mieux que de parler de nivaquine qui pourrait soulever un doute quant à son efficacité.

    Cet antipaludéen a fait le tour de la planète.

    La grande subtilité était de la préconiser au départ de l’atteinte virale, quand le contexte clinique présente peu de symptômes.

    Autrement dit : absorber cet unique produit ou ne rien prendre, c’est kif-kif !

  9. j’aimerais avoir votre avis sur les revelations du site suivant :

    il faut absolument decouvrir ce site suisse qui denonce un scandale monstrueux ;
    http://www.verite-covid19.fr/
    vous allez tout savoir sur ce virus FABRIQUE par institut PASTEUR §
    et vous comprendrez pourquoi le protocole de Pr RAOULT est efficace
    puisque ce virus comporte l ‘ ADN de la malaria ( traitee par hydroxychloroquine )

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