Chers amis,
La thérapie quantique est une démarche fondée, entre autres, sur l’application de champs électromagnétiques infimes. Il s’agit de rétablir les structures d’information de la cellule et de l’organisme altérées par la pathologie, et de ramener l’organisme à son point d’équilibre énergétique ou « état stable », appelé santé.
La cellule porte en elle des informations capables de régénérer l’organisme !
La thérapie quantique est basée sur le fait que chaque cellule possède en elle la capacité de régénérer l’information biologique perdue. Il ne s’agit pas d’une hypothèse mais d’une certitude.
Les scientifiques ont ainsi calculé que si l’on développe sur papier le volume des informations génétiques contenues dans une cellule sexuelle, cela correspondrait à environ cinq à sept fois la distance de la terre au soleil.
Or, les ressources physico-chimiques de la cellule ne sont pas suffisantes pour conserver un tel volume. Comment la cellule réalise-t-elle une telle prouesse ?
Ce sont des chercheurs russes qui ont apporté un début de réponse en démontrant que le code génétique n’est pas seulement conservé en tant que substance biochimique, mais aussi sous la forme d’une « structure quantique ». Ils en ont conclu que la cellule porte en elle l’information sur la totalité de l’organisme.
L’information cellulaire se propage par phénomène de résonance à l’intérieur et à l’extérieur du corps humain, livrant ainsi des indications précises sur l’état de santé global d’un individu, mais aussi de tel ou tel organe.
La particularité du « faible signal » électromagnétique envoyé par le thérapeute est qu’il est porteur d’une information énergétique qui fonctionne à l’unisson (on dit « en résonance ») avec les processus de communication de la cellule. Il va ainsi agir exclusivement au niveau informationnel des molécules et de la cellule, puis par réactions en chaîne sur le tissu, l’organe et l’organisme tout entier.
Les domaines d’application de la thérapie quantique
Sont aussi nombreux que les spécialités médicales : cardiologie, pneumologie, chirurgie, traumatologie, gastro-entérologie, gynécologie, urologie, stomatologie, dermatologie, ophtalmologie, neurologie, rhumatologie, cosmétologie…
L’intérêt de la régénération quantique (réparation ou réhabilitation) a été mis en évidence dans de nombreux cas : accélération du rétablissement et de la cicatrisation post-opératoire (après des interventions lourdes ou complexes), réparation après chimiothérapie et/ou radiothérapie dont on peut objectivement diviser par deux ou trois le temps nécessaire à la récupération.
À ce jour, il existe des milliers de centres de soins par thérapie quantique dans le monde, et des recherches de pointe sont réalisées en Russie pour des affections telles que : maladies oncologiques (tumeurs), mal des rayons, sida, certaines maladies cardio-vasculaires, stérilité, alopécie, lithiase rénale, paralysie cérébrale infantile, asthme bronchique, incontinence urinaire.
La thérapie quantique est également utilisée en médecine du sport, pour la préparation aux compétitions, et en médecine cosmonautique pour la préparation aux vols spatiaux.
La médecine quantique est non seulement capable de régénérer l’équilibre et donc la santé, mais aussi de diagnostiquer une pathologie.
Ainsi, en enregistrant (sur la peau du patient) les paramètres micro-électriques des structures internes, on peut non seulement observer les paramètres qui définissent une affection, mais aussi le degré d’évolution de la pathogénicité, et surtout évaluer avec précision les prédispositions pathologiques du patient.
Les animaux déboussolés
L’influence du cosmos sur la nature terrestre est maintenant considérée comme une réalité. Tout comme celle des champs magnétiques depuis les travaux réalisés par des physiciens américains et soviétiques dès la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ils ont démontré, par exemple, que de très puissants champs magnétiques influençaient la croissance des animaux et des plantes et provoquaient chez l’être humain l’apparition de points lumineux intenses et durables : les phosphènes rétiniens.
C’est ainsi qu’on a observé que les pigeons voyageurs, les abeilles, les baleines, les dauphins sont totalement perturbés dès qu’on les soumet à des champs magnétiques artificiels. Leur trajectoire, dans les airs ou dans la mer, selon le cas, devient alors totalement erratique : les pigeons voyageurs ne retrouvent plus le lieu qu’ils doivent rejoindre, les abeilles en toutes saisons perdent définitivement leur ruche, les baleines et les dauphins s’échouent par bandes entières sur les plages.
On peut affirmer, pour prendre une image liée aux phénomènes de magnétisme et d’aimantation, que ces animaux sont véritablement « déboussolés » !
De la magnétite plein les mains
Il reste à poursuivre la recherche des effets du magnétisme sur la personne humaine et à étudier ce qui est d’ordre magnétique dans son corps.
Durant plus de vingt ans, Yves Rocard a étudié scientifiquement le monde des sourciers et démystifie les « secrets » de la baguette ou du pendule. Il n’a pourtant rien d’un professeur Tournesol.
« Père » des premières bombes atomiques françaises, le Pr Rocard a dirigé pendant près de trente ans le laboratoire de physique de l’École Normale Supérieure. Il a eu quelques-uns des plus brillants chercheurs actuels. Ses travaux sur l’effet sourcier, confirmés par plusieurs recherches, mettent à jour chez l’être humain un « sixième sens » magnétique qui a joué un rôle considérable au cours de l’évolution.
Lorsqu’il était dans la recherche atomique, une de ses multiples tâches consistait à détecter à distance les effets des explosions atomiques.
Lors d’un travail de repérage, un des ouvriers de son équipe démontra ses talents de détecteur à l’aide d’une baguette de sourcier. Ses démonstrations furent telles que son incrédulité première se transforma en curiosité scientifique.
Yves Rocard a donc cherché une explication physique à ces irrésistibles déclenchements de la baguette de sourcier en certains lieux. C’est ce qu’il a appelé le « signal du sourcier ».
Après vingt ans de recherche, il a pu démontrer qu’en fait, le réflexe sourcier était provoqué par des anomalies magnétiques liées à la composition géologique du sous-sol.
Après la baguette, il décide d’étudier le pendule. Là, on l’a accusé carrément de sombrer dans la radiesthésie ! Son but était au contraire de démystifier le phénomène. Lorsqu’on sait que les mouvements du pendule dépendent eux aussi de petites variations du champ magnétique, on n’est plus dupe des prétentions occultes de la radiesthésie.
Plusieurs recherches ont confirmé chez l’être humain cette sensibilité magnétique et que l’on croyait réservée à quelques espèces animales, migratrices par exemple.
Il existe certainement chez l’homme un sixième sens magnétique, très émoussé par les conditions modernes de vie et l’environnement moderne, mais que l’on peut rééduquer en milieu magnétique calme.
Bien avant nos découvertes…
Jusqu’à l’âge de fer, ce sixième sens constituait un facteur de survie appréciable. L’homme pouvait se laisser guider par d’infimes signaux magnétiques vers les sites où la présence d’eau était géologiquement probable.
À cette époque, où l’environnement magnétique n’était nullement saturé, la baguette de détection n’était pas nécessaire. Les sujets sensibles pouvaient « tomber en arrêt » sur les endroits favorables par une réaction amplifiée, exagérée, aux anomalies magnétiques.
Yves Rocard a identifié les récepteurs magnétiques responsables de ce sixième sens :
Il s’agit de cristaux de magnétite, matériau à aimantation fragile, inclus dans la tête des pigeons ou des dauphins, animaux réputés pour leur sens de l’orientation. On trouve ces mêmes cristaux inclus dans la tête des abeilles.
L’action des champs magnétiques artificiels s’exerce donc sur eux à partir de ces cristaux, allant jusqu’à perturber complètement leur comportement.
Chez l’homme, ils sont situés à six niveaux bien précis qui déclenchent la réaction sourcière. Ce sont les tempes et les muscles oculaires, le cervelet, le cou, les coudes et les genoux.
Dans la nature, ce sont des écarts très faibles du champ magnétique terrestre qui agissent sur ces capteurs et déclenchent un réflexe bref de relâchement. Ils provoquent un léger tremblement musculaire qui fait osciller la baguette ou se balancer le pendule.
Que nous soyons sensibles à des variations aussi infimes (1/50 000 de la pesanteur terrestre) étonne le physicien ou le biologiste, mais c’est un fait démontré bien établi.
Yves Rocard à dressé d’ailleurs des « cartes d’identité magnétique » pour chaque sujet. Elle permet des recoupements intéressants quant à la transmission héréditaire du « don sourcier ». Il estime à trente-cinq millions le nombre de Français qui peuvent obtenir des signaux valables à la baguette ou au pendule. Cela dit, les résultats dépendent du bon équilibre électromagnétique de chaque sujet.
Le professeur Rocard a démontré et mesuré, à l’aide d’un magnétomètre à protons, que le corps humain peut ressentir des variations du champ magnétique de l’ordre du millième du champ terrestre !
Ce qui signifie que, lorsqu’un homme traverse des endroits soumis à des champs magnétiques, il subit, sans s’en rendre compte, un déséquilibre physique l’obligeant à des efforts musculaires pouvant entrainer une fatigue accrue.
Origine de certains cancers
On aurait constaté d’importants troubles physiques, mais aussi psychiques, qui surviennent plus fortement et plus durablement chez les habitants de certaines maisons, alors qu’ils ne sont absolument pas ressentis par leurs voisins, même si les maisons sont mitoyennes.
Ce sont des phénomènes de ce type qui peuvent se produire dans ce que certains auteurs à sensation appellent « les maisons à cancer ».
Ces phénomènes auraient leur origine dans des courants magnétiques qui se croiseraient dans le sol sous la maison. Les spécialistes des ondes de forme et ceux qui se préoccupent de cette nouvelle science appelée « médecine de l’habitat » en savent beaucoup plus qu’ils ne veulent le faire croire.
La vraie difficulté réside dans le fait qu’il faut plusieurs dizaines d’années pour mesurer l’efficacité réelle de ces courants néfastes sur l’individu.
Le magnétisme curatif
Le magnétisme est un agent physique, d’une espèce particulière, source de vie des organes et des cellules, et qui peut être transmis à ceux qui sont malades par l’intermédiaire d’un magnétiseur qui joue alors le rôle d’accumulateur – le fluide passant au travers de ses mains et de ses doigts, et pénétrant dans l’organisme du malade – comme pénètrent les courants électriques, les rayons X, les radiations lumineuses, les ultrasons…
C’est, en effet, une thérapeutique physique particulière qui met en œuvre des passes magnétiques (impositions localisées) le long de l’organisme.
Le principe thérapeutique magnétique consiste à faire pénétrer, dans un organisme « dévitalisé » ou en déséquilibre magnétique, un fluide doué de propriétés vitales et magnétiques.
Seul un magnétiseur, dont l’organisme est doté d’une surabondance fluidique, est apte à appliquer son fluide à ceux dont les troubles pathologiques résultent, selon le principe magnétique, d’une baisse de potentiel fluidique.
L’ensemble des manœuvres magnétiques est à rapprocher des travaux réalisés par un couple de Soviétiques, Semione et Valentina Kirlian, peu avant la Seconde Guerre mondiale, et qui fascinèrent tous ceux qui s’intéressaient au magnétisme.
Ils conclurent en effet à un transfert d’énergie passant des mains du magnétiseur au corps de la personne magnétisée.
L’effet Kirlian
Depuis l’Antiquité, on a évoqué la notion d’un corps invisible, l’aura, qui entourerait le corps physique. Cette aura est une émanation si subtile (comme l’exprime son étymologie latine, « aura » signifiant « souffle d’air ») qu’elle a traversé les siècles avec son mystère.
Et même si les dénominations se firent plus nombreuses : corps subtil, corps éthérique, halo lumineux (qu’on trouve sur les tableaux autour de la tête des saints et de Jésus-Christ), les explications demeurèrent approximatives. Ainsi que les preuves…
Jusqu’à ce jour de 1939 où un électricien russe de Krasmodar, Semione Kirlian, découvrit, par hasard, en travaillant sur des appareils à haute fréquence que des efflorescences lumineuses apparaissaient autour de corps vivants. Avec sa femme Valentina, il effectua des milliers de photographies de ce qu’on appellera après la Seconde Guerre mondiale : « l’effet Kirlian ».
Le monde de l’image s’enrichissait d’une nouvelle dimension que les parapsychologues n’hésitèrent pas à revendiquer.
Les différentes couches lumineuses concentriques observables sur ces images ne seraient pas autre chose que l’aura. Un schéma explicatif allait même jusqu’à préciser que la première correspondait au physique, la deuxième à l’âme et la troisième à l’esprit.
Beaucoup d’affirmations reposaient à l’époque sur des travaux américains et soviétiques, très difficiles à obtenir. D’ailleurs peu d’auteurs décrivaient des faits expérimentaux précis répondant à des protocoles rigoureux et reproductibles.
Tous les physiciens savent que si l’électrostatique théorique est bien connue, l’approche quantitative du phénomène demeure encore complexe dans sa réalité. Or l’effet Kirlian apparaissait essentiellement comme un phénomène électrostatique, laissant pressentir les nombreux paramètres à maîtriser en vue d’applications fiables.
Kirlian avait photographié des objets ou certaines parties du corps humain traversés par un courant électrique. Sur les photographies obtenues, un halo lumineux plus ou moins puissant, plus ou moins coloré apparaissait, entourant le corps physique photographié. Les Soviétiques nommèrent ce phénomène lumineux le « corps-énergie » ou « corps-bioplasmique », et observèrent trois faits essentiels :
- Ce halo était un baromètre de la santé du patient (en cas de maladie, son intensité diminuait).
- Il était lié au corps physique dans son intégralité originelle : sur la photo d’un sujet amputé d’une jambe, le halo épousait la forme du membre manquant.
- Il pouvait être utilisé comme un moyen de détecter les maladies : chacune de ses variations (baisse d’intensité, changement de couleur…) était annonciatrice d’une perturbation physique – et même psychologique.
Les mystères de l’infra-monde dans notre univers quantique
Vulgariser l’infiniment petit suppose d’explorer les anfractuosités byzantines de la physique quantique, cette branche des sciences à la complexité impénétrable, où s’entremêlent ondes gravitationnelles, mesures de l’espace-temps, dualité onde-particule et autres intrications infinitésimales.
Autrement dit, un champ considéré par les spécialistes eux-mêmes comme « bizarre » et « étrange ». Presque une nef des fous. Cette mer physico-mathématique encore partiellement inconnue et incomprise répond pourtant bel et bien à une logique. Encore faut-il déchiffrer les règles du jeu de ce monde mystérieux.
C’est ainsi que nous plongeons dans la physique quantique, domaine de l’étude de la réalité à son niveau subatomique le plus fondamental, celui où l’on scrute les interactions entre matière et énergie.
On doit sa découverte à la synthèse, opérée au début du XXe siècle, entre la physique des particules et celle des ondes.
Étudiée à son niveau quantique, cette nouvelle physique déjoue les règles universelles et immuables qui régissaient jusqu’alors les lois de la physique dite classique.
La probabilité y règne en maître, en pied de nez au déterminisme des mathématiques. Cette logique contre-intuitive avait donné du fil à retordre à de nombreux savants. « Dieu ne joue pas aux dés avec l’univers ! » s’était notamment exclamé Albert Einstein.
En un siècle, la sidération de la communauté scientifique a laissé place à des applications concrètes et à de nouvelles découvertes. Le GPS, les lasers, les ordinateurs et les smartphones n’existeraient pas sans les horloges atomiques mises au point dans les années 1960, désormais affinées par la technologie quantique.
De même, l’évaporation inexorable des trous noirs et la finitude de l’univers ont été prédites par Stephen Hawking, à partir de raisonnements quantiques. Décoiffant !
L’avenir de la thérapie quantique
L’efficacité de la thérapie quantique, ses aspects écologiques (non agressifs et indolores), sans aucune dépendance médicamenteuse, ainsi que le faible coût de revient des traitements, en font un atout majeur.
Son application est recommandée dans plus de deux cents maladies symptomatiques et permet d’éviter l’intervention chirurgicale dans certains cas tels que lithiases, ulcérations gastriques ou variqueuses, adénomes prostatiques, fibromes…
Les recherches en cours permettent d’affirmer que les technologies quantiques seront employées dans un proche avenir pour la prophylaxie et le traitement de maladies telles que : pathologies auto-immunes, diabète, tumeurs cancéreuses, athérosclérose, épilepsie, schizophrénie.
Elles permettraient aussi d’envisager chez l’homme la bio-régénération d’organes perdus par accident, opération ou malformation (dents, yeux, doigts, bras, jambe ou foie…) à l’instar des vers, limaces ou lézards qui ont conservé leur capacité à restaurer des organes ou des fonctions endommagés.
Ainsi, plutôt que d’envisager la greffe d’organes, les scientifiques russes, pionniers en thérapie quantique, cherchent aujourd’hui la clé qui permettra d’obtenir la régénération des organes par des processus énergétiques totalement biocompatibles, sans passer par des manipulations génétiques ou par le clonage.
Des applications quotidiennes de la médecine quantique
Les vertus des applications du « soft laser »
Le laser mou ou « soft laser » possède des propriétés antalgiques, antispasmodiques et anti-inflammatoires. Il est antioxydant, cicatrisant et eutrophique pour la peau et les phanères. Il est efficace dans les inflammations articulaires, les traumatismes, les inflammations des tissus mous. Il agit sur certaines dermatoses telles que psoriasis et eczéma et stimule des glandes endocrines comme la thyroïde, les ovaires ou les testicules.
Son action sur les migraines est remarquable… Il stimule la circulation sanguine, le métabolisme, active les systèmes immunocompétents et harmonise les facteurs hormonaux. Il active la production d’énergie, améliore la perméabilité membranaire et la micro-circulation, régénère les tissus profonds, stimule les « points biologiquement actifs » tels les points d’acupuncture et les points réflexes.
L’homéopathie
Lorsqu’un médecin homéopathe soigne un malade, il lui prescrit à petites doses un médicament qui, absorbé à fortes doses par un sujet en bonne santé, provoquerait chez celui-ci un ou plusieurs symptômes analogues à ceux présentés par le malade. C’est le principe de l’infinitésimalité (venin de serpent, cyanure de mercure).
Quand les substances sont trop toxiques pour être administrées à dose pondérale, on les donne en doses infimes après les avoir diluées et dynamisées plusieurs fois selon le principe primum non nocere (d’abord ne pas nuire).
Le patient capte ainsi l’énergie du remède tout en évitant les effets indésirables. C’est pour cela que l’homéopathie est une médecine sans effet secondaire qui peut être prescrite sans contre-indications à tout le monde, des nouveau-nés aux vieillards en passant par les femmes enceintes.
Il existe tout de même une condition nécessaire à cet effet : la solution de la substance administrée doit au préalable être dynamisée, ce qui lui apporte une nouvelle force capable d’agir sur les symptômes. Cette opération est appelée succussion ou dynamisation.
Il existe deux types de médicaments homéopathiques :
- Ceux que l’on qualifie de moléculaires, renfermant encore malgré la dilution ou déconcentration, un certain nombre de molécules de la substance souche, d’origine souvent végétale, d’autant plus important que la dilution est basse. Ils sont toujours en dessous du nombre d’Avogadro.
- Et ceux que l’on qualifie de non moléculaires, quand on dépasse la dilution de 9CH et donc le nombre d’Avogadro, c’est-à-dire le seuil au-delà duquel on ne peut plus retrouver une seule molécule de la substance originelle dans l’eau.
Folliculinum 9CH est le grand médicament des troubles menstruels. Il est d’une efficacité très régulière, bien qu’à la dilution 9CH on a dépassé le nombre d’Avogadro où il n’y a donc plus de molécules. C’est donc un traitement hormonal sans hormone !
La quantique appliquée à la pharmacologie
Le laboratoire Phytoquant a élaboré toute une gamme de complexes végétaux alliant les spécificités biochimiques aux propriétés quantiques des actifs végétaux.
Les produits Phytoquant subissent une imprégnation énergétique quantique équivalente à la vibration spécifique à chacun des végétaux utilisés. Cette dynamisation augmente le niveau vibratoire du complexe végétal et potentialise son degré d’assimilation et d’action sur les champs énergétiques de l’individu.
Chaque complexe plantes-énergie se trouve ainsi doté d’un niveau d’activité supérieur.
Portez-vous bien !
Jean-Pierre Willem
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Après une formation en pharmacologie, j’ai réalisé des remèdes naturels à partir des plantes bio et des huiles essentielles, des petites « bombes » biochimiques dont le taux vibratoire pouvait être analysé.
En premier lieu 4 thérapies antitumorales :
- La teinture Mère de propolis rouge ;
- Asiatonic, extrait d’une plante de la famille des Sarcandrae ;
- Bropaïne, composée de deux enzymes de l’ananas et de la papaye ;
- Asiarum, composé d’artémisinine isolée de l’armoise annuelle et de trois huiles essentielles (Gingembre, Litsée, Nigelle).